Diwar-benn an oberour
Oberour Jean Grosjean (1912-2006) |
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Oedipe roi / Sophocle / Gallimard (2015)
Titl : Oedipe roi Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Sophocle (0496?-0406 av. J.-C.), Oberour ; Jean Grosjean (1912-2006), Troer ; Jean-Louis Backès, Embanner skiantel ; Raphaël Dreyfus, Embanner skiantel Embanner : Gallimard, 2015 Dastumad : Folio Niver a bajennoù : 206 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-046621-4 Priz : 3 € Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Gregach klasel (grc) Diverradenn : La ville de Thèbes est ravagée par la peste. Son souverain, Oedipe, mène l'enquête. Il découvre que l'homme qu'il a tué jadis, Laïos, était son père, et qu'il a épousé sa propre mère, Jocaste, dont il a eu quatre enfants. Elle se suicide, il se crève les yeux et s'exile. Une des plus belles tragédies de l'Histoire, modèle de l'enquête policière et de son suspens, de la peinture de la destruction de soi, et des relations troubles qui tissent les liens familiaux, grande interrogation jetée au destin, cette pièce est à l'origine de nombreuses imitations (jusqu'à Gide et Cocteau) et de nombreux commentaires (jusqu'à Freud ou Jean-Pierre Vernant).
«O lumière c'est la dernière fois que je te vois, je suis né de qui je ne devais pas, je suis uni à qui je ne dois pas, j'ai tué qui je n'aurais pas dû.» Oedipe roi, IIIe épisode.Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Oedipe roi [testenn voulet] / Sophocle (0496?-0406 av. J.-C.), Oberour ; Jean Grosjean (1912-2006), Troer ; Jean-Louis Backès, Embanner skiantel ; Raphaël Dreyfus, Embanner skiantel . - Gallimard, 2015 . - 206 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-046621-4 : 3 €
Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Gregach klasel (grc)
Diverradenn : La ville de Thèbes est ravagée par la peste. Son souverain, Oedipe, mène l'enquête. Il découvre que l'homme qu'il a tué jadis, Laïos, était son père, et qu'il a épousé sa propre mère, Jocaste, dont il a eu quatre enfants. Elle se suicide, il se crève les yeux et s'exile. Une des plus belles tragédies de l'Histoire, modèle de l'enquête policière et de son suspens, de la peinture de la destruction de soi, et des relations troubles qui tissent les liens familiaux, grande interrogation jetée au destin, cette pièce est à l'origine de nombreuses imitations (jusqu'à Gide et Cocteau) et de nombreux commentaires (jusqu'à Freud ou Jean-Pierre Vernant).
«O lumière c'est la dernière fois que je te vois, je suis né de qui je ne devais pas, je suis uni à qui je ne dois pas, j'ai tué qui je n'aurais pas dû.» Oedipe roi, IIIe épisode.Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Da vezañ miret
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