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Oberour Robert Kopp |
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Baudelaire : le soleil noir de la modernité / Robert Kopp / Gallimard (2004)
Titl : Baudelaire : le soleil noir de la modernité Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Robert Kopp, Oberour Embanner : Gallimard, 2004 Dastumad : Découvertes Gallimard Niver a bajennoù : 159 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-031414-0 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : «J'ai pris de la boue et j'en ai fait de l'or». Baudelaire est le premier poète du monde «moderne». Le nôtre. Un «vilain monde» qui «va finir» car il n'a plus rien à faire sous «le ciel». Un monde où le culte du progrès et la passion de l'argent ont «atrophié en nous la partie spirituelle», où la mécanique nous a tellement «américanisés» que rien parmi «les rêveries sanguinaires» des utopistes n'atteint les horreurs de la réalité positive. Un monde où la «beauté» n'a plus cours. À moins que l'artiste ne puisse l'extraire du Mal, la faire apparaître sous forme de «beauté interlope», tel un «soleil agonisant», brillant d'une «splendeur triste». Condamné pour Les Fleurs du Mal par la justice de son temps, vivant comme un paria, Baudelaire - comme le montre ici Robert Kopp - a fait de l'art son idéal, mais il ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie. Le soleil noir de la modernité est aussi celui de la mélancolie. Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : buhezskrid Baudelaire : le soleil noir de la modernité [testenn voulet] / Robert Kopp, Oberour . - Gallimard, 2004 . - 159 p.. - (Découvertes Gallimard) .
ISBN : 978-2-07-031414-0
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : «J'ai pris de la boue et j'en ai fait de l'or». Baudelaire est le premier poète du monde «moderne». Le nôtre. Un «vilain monde» qui «va finir» car il n'a plus rien à faire sous «le ciel». Un monde où le culte du progrès et la passion de l'argent ont «atrophié en nous la partie spirituelle», où la mécanique nous a tellement «américanisés» que rien parmi «les rêveries sanguinaires» des utopistes n'atteint les horreurs de la réalité positive. Un monde où la «beauté» n'a plus cours. À moins que l'artiste ne puisse l'extraire du Mal, la faire apparaître sous forme de «beauté interlope», tel un «soleil agonisant», brillant d'une «splendeur triste». Condamné pour Les Fleurs du Mal par la justice de son temps, vivant comme un paria, Baudelaire - comme le montre ici Robert Kopp - a fait de l'art son idéal, mais il ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie. Le soleil noir de la modernité est aussi celui de la mélancolie. Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : buhezskrid Da vezañ miret
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