Titl : |
L'école des femmes |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Molière (1622-1673), Oberour ; Thierry Corbeau, Embanner skiantel ; Élise Sultan, Kenlabourer |
Mention d'édition : |
Éd. revue |
Embanner : |
Flammarion, cop. 2012 |
Dastumad : |
Étonnants classiques (Paris), ISSN 1269-8822 |
Niver a bajennoù : |
1 vol. (169 p.-[8] p. de pl.) |
Sk. : |
ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. |
Mentoù : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-129070-9 |
Priz : |
2,90 € |
Notenn hollek : |
Glossaire |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle.
La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu’aux plus simples convenances, rend le salut qu’on lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où les confidences d’Horace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système d’éducation. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
c'hoariva |
L'école des femmes [testenn voulet] / Molière (1622-1673), Oberour ; Thierry Corbeau, Embanner skiantel ; Élise Sultan, Kenlabourer . - Éd. revue . - Flammarion, cop. 2012 . - 1 vol. (169 p.-[8] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Étonnants classiques (Paris), ISSN 1269-8822) . ISBN : 978-2-08-129070-9 : 2,90 € Glossaire Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle.
La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu’aux plus simples convenances, rend le salut qu’on lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où les confidences d’Horace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système d’éducation. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
c'hoariva |
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