Diwar-benn an embanner
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Teulioù vak e ti an embanner-mañ (2)
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Gwerz Denez / Denez Prigent / Edilarge-Editions Ouest-France (2023)
Titl : Gwerz Denez Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Denez Prigent, Oberour Embanner : Edilarge-Editions Ouest-France, 2023 Dastumad : Hors collection Niver a bajennoù : 1 vol. (811 p.) Sk. : couv. ill Mentoù : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7373-8931-3 Yezh : Galleg (fre) Brezhoneg (bre) Doare an teul : teul-titouriñ Gwerz Denez [testenn voulet] / Denez Prigent, Oberour . - Edilarge-Editions Ouest-France, 2023 . - 1 vol. (811 p.) : couv. ill ; 24 cm. - (Hors collection) .
ISBN : 978-2-7373-8931-3
Yezh : Galleg (fre) Brezhoneg (bre)
Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 781 PRI teullevrioù e brezhoneg Gwened 109250 E stad vat
Vak Parlons du breton ! / Association Buhez (Breizh) / Edilarge-Editions Ouest-France (2001)
Titl : Parlons du breton ! Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Association Buhez (Breizh), Oberour Embanner : Edilarge-Editions Ouest-France, 2001 Niver a bajennoù : 191 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7373-2927-2 Priz : 7,10€ Notenn hollek : Fotoioù e brezhoneg
Skrid e gallegYezh : Galleg (fre) Diverradenn : Les langues tiennent chaud au cœur. Elles passionnent même ! Aujourd'hui, de nombreux bretonnants disent avoir " du breton plein la tête ". Ils s'expriment dans cette langue, en éprouvent du plaisir et aiment partager leur bonheur. Le breton a toujours su conserver sa visibilité. Majoritairement parlé en Basse-Bretagne jusqu'à peu, il a pourtant subi de profondes mutations au cours du 20e siècle : son usage a considérablement régressé. Depuis la Seconde Guerre mondiale, le nombre de locuteurs a diminué de 80 %. Malgré tout, les chiffres ne peuvent être tenus pour négligeables : environ 240 000 personnes parlent actuellement le breton, soit 16 % de la population de Basse-Bretagne, soit encore 8,5 % de la population de la Région Bretagne. S'il reste toujours lié à la Basse-Bretagne, le breton peut aussi s'écouter, se parler ou s'apprendre en divers autres lieux. Plus qu'à la maison peut-être, le breton se pratique dans des lieux de sociabilité comme les fêtes et l'école. Les classes bilingues d'enseignement par immersion qui se développent au rythme annuel de 10 à 15 % témoignent des choix en faveur du breton. Rejoignant les attentes du public, nombre de chercheurs ont consacré leurs études au breton. En quelques décennies, la recherche s'est faite foisonnante et diverse tant en histoire qu'en linguistique, en littérature qu'en sociolinguistique. Elle permet aujourd'hui de livrer un bilan qui approfondit nos connaissances linguistiques, qui précise notre perception historique et qui donne la pleine mesure de l'expression de langue bretonne. Cette recherche profondément renouvelée permet d'aborder plus facilement la question de l'avenir du breton. Sa transmission est une interrogation centrale : comment surmonter la coupure entre générations et comment réapprendre le breton aux jeunes ? Son rayonnement est également à repenser en permanence : quels usages de la langue saura-t-on privilégier ? Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : arnodskrid Danvez ar faltaziadenn : Breizh Parlons du breton ! [testenn voulet] / Association Buhez (Breizh), Oberour . - Edilarge-Editions Ouest-France, 2001 . - 191 p.
ISBN : 978-2-7373-2927-2 : 7,10€
Fotoioù e brezhoneg
Skrid e galleg
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Les langues tiennent chaud au cœur. Elles passionnent même ! Aujourd'hui, de nombreux bretonnants disent avoir " du breton plein la tête ". Ils s'expriment dans cette langue, en éprouvent du plaisir et aiment partager leur bonheur. Le breton a toujours su conserver sa visibilité. Majoritairement parlé en Basse-Bretagne jusqu'à peu, il a pourtant subi de profondes mutations au cours du 20e siècle : son usage a considérablement régressé. Depuis la Seconde Guerre mondiale, le nombre de locuteurs a diminué de 80 %. Malgré tout, les chiffres ne peuvent être tenus pour négligeables : environ 240 000 personnes parlent actuellement le breton, soit 16 % de la population de Basse-Bretagne, soit encore 8,5 % de la population de la Région Bretagne. S'il reste toujours lié à la Basse-Bretagne, le breton peut aussi s'écouter, se parler ou s'apprendre en divers autres lieux. Plus qu'à la maison peut-être, le breton se pratique dans des lieux de sociabilité comme les fêtes et l'école. Les classes bilingues d'enseignement par immersion qui se développent au rythme annuel de 10 à 15 % témoignent des choix en faveur du breton. Rejoignant les attentes du public, nombre de chercheurs ont consacré leurs études au breton. En quelques décennies, la recherche s'est faite foisonnante et diverse tant en histoire qu'en linguistique, en littérature qu'en sociolinguistique. Elle permet aujourd'hui de livrer un bilan qui approfondit nos connaissances linguistiques, qui précise notre perception historique et qui donne la pleine mesure de l'expression de langue bretonne. Cette recherche profondément renouvelée permet d'aborder plus facilement la question de l'avenir du breton. Sa transmission est une interrogation centrale : comment surmonter la coupure entre générations et comment réapprendre le breton aux jeunes ? Son rayonnement est également à repenser en permanence : quels usages de la langue saura-t-on privilégier ? Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : arnodskrid Danvez ar faltaziadenn : Breizh Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 306.44 BZH BUH lennegezh Naoned 702644 E stad vat
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