Titl : |
Jean Jaurès |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Karine Delobbe, Oberour |
Embanner : |
PEMF, 2006 |
Dastumad : |
Ecritoires |
Niver a bajennoù : |
59 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84526-616-2 |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Gerioù-al'hwez : |
Jaurès, Jean |
Diverradenn : |
Le combat pour le progrès social. Issu de milieu modeste, Jean Jaurès fait pourtant de brillantes études, tour à tour normalien, professeur puis maître de conférences et journaliste. Sa vocation d'orateur le pousse à embrasser une carrière politique. Élu à vingt-six ans député du Tarn sur la liste des républicains modérés, il partage les luttes des travailleurs et se bat pour le progrès social qui ne peut être réalisé, selon lui, que par le biais de réformes. Peu à peu, il vient au socialisme avant d'en devenir une des grandes figures. Tout au long de sa vie, il œuvre pour l'unité du Parti, n'hésitant pas à défendre la participation des socialistes au gouvernement bourgeois, quand c'est nécessaire. Tantôt admiré, tantôt calomnié, il poursuit dans la voie qu'il croit être juste, avec cette force de conviction et ce désintéressement qui le caractérisent. Son dernier combat est pour la paix. Mais il ne peut empêcher l'avancée vers la guerre et, s'étant attiré la haine des milieux nationalistes, il est assassiné trois jours avant que n'éclate la Première Guerre mondiale. |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
Jean Jaurès [testenn voulet] / Karine Delobbe, Oberour . - PEMF, 2006 . - 59 p.. - ( Ecritoires) . ISBN : 978-2-84526-616-2 Yezh : Galleg ( fre)
Gerioù-al'hwez : |
Jaurès, Jean |
Diverradenn : |
Le combat pour le progrès social. Issu de milieu modeste, Jean Jaurès fait pourtant de brillantes études, tour à tour normalien, professeur puis maître de conférences et journaliste. Sa vocation d'orateur le pousse à embrasser une carrière politique. Élu à vingt-six ans député du Tarn sur la liste des républicains modérés, il partage les luttes des travailleurs et se bat pour le progrès social qui ne peut être réalisé, selon lui, que par le biais de réformes. Peu à peu, il vient au socialisme avant d'en devenir une des grandes figures. Tout au long de sa vie, il œuvre pour l'unité du Parti, n'hésitant pas à défendre la participation des socialistes au gouvernement bourgeois, quand c'est nécessaire. Tantôt admiré, tantôt calomnié, il poursuit dans la voie qu'il croit être juste, avec cette force de conviction et ce désintéressement qui le caractérisent. Son dernier combat est pour la paix. Mais il ne peut empêcher l'avancée vers la guerre et, s'étant attiré la haine des milieux nationalistes, il est assassiné trois jours avant que n'éclate la Première Guerre mondiale. |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
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