Titl : |
Diwan 40 ans déjà ! |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Fanny Chauffin, Oberour |
Embanner : |
Yoran, 2017 |
Niver a bajennoù : |
259 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-916579-96-2 |
Priz : |
25 € |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
Les écoles immersives Diwan ont quarante ans. Elles ont, d'une part, contribué à la revitalisation de la langue bretonne et, d'autre part, permis un essor culturel et artistique en breton. Alors que les études précédentes analysent la chute vertigineuse du nombre de locuteurs et l'extrême fragilité de l'avenir de la langue, cet essai montre comment la créativité des acteurs de Diwan a permis de surmonter les difficultés idéologiques et financières, et a réussi à toucher, par la musique, l'audiovisuel, le théâtre et la littérature, un public beaucoup plus large que celui des bretonnants. Qui sont ces élèves représentant 1% de la population scolaire bretonne, et quelles sont leurs pratiques artistiques ? En prenant appui sur les études des sociolinguistes et des psycholinguistes, sur des études menées en classe et dans le domaine extra-scolaire, mais aussi dans les écoles immersives basques Seaska et d'autres minorités linguistiques européennes, l'auteure montre que Diwan est depuis sa création une « machine à créer » fragile, qui ne peut continuer à se développer sans un regard critique sur elle même, une recherche pédagogique structurée et sans un soutien plus important de la société bretonne dans son ensemble. La créativité développée par les enseignants, les bénévoles, les parents d'élèves et les élèves sera-t-elle suffisante pour permettre un avenir à la langue ? . Quel breton est parlé à Diwan ? . Qui sont les enseignants-artistes et quelle évolution suit Diwan depuis les pionniers ? |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
Diwan 40 ans déjà ! [testenn voulet] / Fanny Chauffin, Oberour . - Yoran, 2017 . - 259 p. ISBN : 978-2-916579-96-2 : 25 € Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
Les écoles immersives Diwan ont quarante ans. Elles ont, d'une part, contribué à la revitalisation de la langue bretonne et, d'autre part, permis un essor culturel et artistique en breton. Alors que les études précédentes analysent la chute vertigineuse du nombre de locuteurs et l'extrême fragilité de l'avenir de la langue, cet essai montre comment la créativité des acteurs de Diwan a permis de surmonter les difficultés idéologiques et financières, et a réussi à toucher, par la musique, l'audiovisuel, le théâtre et la littérature, un public beaucoup plus large que celui des bretonnants. Qui sont ces élèves représentant 1% de la population scolaire bretonne, et quelles sont leurs pratiques artistiques ? En prenant appui sur les études des sociolinguistes et des psycholinguistes, sur des études menées en classe et dans le domaine extra-scolaire, mais aussi dans les écoles immersives basques Seaska et d'autres minorités linguistiques européennes, l'auteure montre que Diwan est depuis sa création une « machine à créer » fragile, qui ne peut continuer à se développer sans un regard critique sur elle même, une recherche pédagogique structurée et sans un soutien plus important de la société bretonne dans son ensemble. La créativité développée par les enseignants, les bénévoles, les parents d'élèves et les élèves sera-t-elle suffisante pour permettre un avenir à la langue ? . Quel breton est parlé à Diwan ? . Qui sont les enseignants-artistes et quelle évolution suit Diwan depuis les pionniers ? |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
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