Titl : |
Le cinéma s'affiche. |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Alexandra Strauss, Oberour ; Aseyn, Illustrateur |
Embanner : |
Gulf Stream, 2012 |
Dastumad : |
Et toc ! |
Niver a bajennoù : |
231 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35488-176-4 |
Priz : |
12.50 € |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Gerioù-al'hwez : |
film sinema |
Diverradenn : |
« Prêt pour le voyage ? On va se balader sur tous les continents, retourner vers la fin du XIXe siècle, parcourir le XXe, arriver aujourd’hui, passer du chimique au numérique… On va croiser des blondes, des belles, des fausses, des pulpeuses, des brunes et des bruns qui font craquer, des filles de tous les jours, des dragons, un paquebot, des cowboys qui crânent et des superhéros qui volent entre les immeubles d’univers futurs ou qui pleurent sur leur bicyclette volée… et tout cela en Technicolor, en noir et blanc, ou même en pâte à modeler !
On dit que le plaisir cinématographique a commencé sur les parois des grottes préhistoriques quand les ombres projetées par les feux tremblotaient en évoquant dieux et déesses, monstres et paradis imaginaires. On l’appelle septième art, mais il les contient tous, le théâtre, la musique, la peinture, la poésie…
Si je pouvais te donner envie d’aller voir ne serait-ce que 10 % des films dont je vais parler ici, j'aurais réussi à te faire mon cinéma ! » |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
Le cinéma s'affiche. [testenn voulet] / Alexandra Strauss, Oberour ; Aseyn, Illustrateur . - Gulf Stream, 2012 . - 231 p.. - ( Et toc !) . ISBN : 978-2-35488-176-4 : 12.50 € Yezh : Galleg ( fre)
Gerioù-al'hwez : |
film sinema |
Diverradenn : |
« Prêt pour le voyage ? On va se balader sur tous les continents, retourner vers la fin du XIXe siècle, parcourir le XXe, arriver aujourd’hui, passer du chimique au numérique… On va croiser des blondes, des belles, des fausses, des pulpeuses, des brunes et des bruns qui font craquer, des filles de tous les jours, des dragons, un paquebot, des cowboys qui crânent et des superhéros qui volent entre les immeubles d’univers futurs ou qui pleurent sur leur bicyclette volée… et tout cela en Technicolor, en noir et blanc, ou même en pâte à modeler !
On dit que le plaisir cinématographique a commencé sur les parois des grottes préhistoriques quand les ombres projetées par les feux tremblotaient en évoquant dieux et déesses, monstres et paradis imaginaires. On l’appelle septième art, mais il les contient tous, le théâtre, la musique, la peinture, la poésie…
Si je pouvais te donner envie d’aller voir ne serait-ce que 10 % des films dont je vais parler ici, j'aurais réussi à te faire mon cinéma ! » |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
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