Titl : |
L'esclave qui parlait aux oiseaux : Il y a 150 ans l'esclavage était aboli |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Zaü, Oberour |
Embanner : |
Rue du Monde, 2003 |
Dastumad : |
Histoire d'histoire |
Niver a bajennoù : |
36 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-912084-07-1 |
Priz : |
15,80 € |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Gerioù-al'hwez : |
esclavage |
Diverradenn : |
Alexandre et Mariama, deux jeunes amis, prennent le métro. Poussé par l’envie de mieux connaître son amie, Alexandre lui demande de lui parler de son pays d’origine, l’Afrique. Mariama commence alors à se remémorer l’histoire de ses ancêtres, à travers celle du « père de l’arrière-grand-père du grand-père de son père » qui fut esclave. On découvre alors l’histoire de ce continent, racontée par son ancêtre qui réussit à échapper à l’esclavage en se jetant à la mer. Sa liberté retrouvée, il prêta ses yeux à un oiseau et suivit par son intermédiaire les souffrances de ses frères noirs emportés, maltraités et tués par les Blancs. Et comme l’aïeul de Mariama se sentait toujours « esclave ici tant qu’ils sont esclaves là-bas », il alerta toute l’Afrique du sort réservé à son peuple avec son « tam-tam parleur »… |
L'esclave qui parlait aux oiseaux : Il y a 150 ans l'esclavage était aboli [testenn voulet] / Zaü, Oberour . - Rue du Monde, 2003 . - 36 p.. - ( Histoire d'histoire) . ISBN : 978-2-912084-07-1 : 15,80 € Yezh : Galleg ( fre)
Gerioù-al'hwez : |
esclavage |
Diverradenn : |
Alexandre et Mariama, deux jeunes amis, prennent le métro. Poussé par l’envie de mieux connaître son amie, Alexandre lui demande de lui parler de son pays d’origine, l’Afrique. Mariama commence alors à se remémorer l’histoire de ses ancêtres, à travers celle du « père de l’arrière-grand-père du grand-père de son père » qui fut esclave. On découvre alors l’histoire de ce continent, racontée par son ancêtre qui réussit à échapper à l’esclavage en se jetant à la mer. Sa liberté retrouvée, il prêta ses yeux à un oiseau et suivit par son intermédiaire les souffrances de ses frères noirs emportés, maltraités et tués par les Blancs. Et comme l’aïeul de Mariama se sentait toujours « esclave ici tant qu’ils sont esclaves là-bas », il alerta toute l’Afrique du sort réservé à son peuple avec son « tam-tam parleur »… |
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