Diwar-benn an oberour
Oberour Marcel Pagnol (1895-1974) |
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Souvenirs d'enfance, 4. Le Temps des amours / Marcel Pagnol / Julliard (1977)
Titl an heuliad : Souvenirs d'enfance, 4 Titl : Le Temps des amours Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour Embanner : Julliard, 1977 Niver a bajennoù : 329 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-260-00078-5 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Ce volume contient le dernier tome des "Souvenirs d'enfance" ainsi qu'un roman de jeunesse, "La Petite fille aux yeux sombres". Notenn diwar-benn danvez an teul : Le Temps des amours se compose de dix chapitres, retrouvés dans les dossiers de l'auteur après sa mort, et réunis en l'état par l'éditeur Bernard de Fallois. Un bon nombre de ces textes avaient toutefois acquis leur forme définitive, Marcel Pagnol ayant autorisé leur publication dans quelques magazines.
La plus grande part relate des épisodes de sa vie de demi-pensionnaire au Lycée Thiers de Marseille où il est entré en 1905, panachés d'aventures de vacances dans ses chères collines, et où les amours, platoniques, n'apparaissent finalement que dans un seul chapitre, consacré à l'Agneau. En fait Pagnol pensait refondre une partie des Souvenirs déjà publiés pour faire commencer celui-ci par l'aventure d'Isabelle, puis il abandonna soudain son projet de quatrième tome.
La Société secrète : présentation des principaux acteurs de sa nouvelle vie en classe de sixième, qui supplante sa vie familiale. Pagnol y décrit à merveille le besoin inné de l'adolescent de se créer une société cachée, sorte de cocon où l'insecte peut achever sa première métamorphose.
L'affaire des pendus : En classe de cinquième, Marcel découvre dans la foulée l'ablatif absolu, la punition scolaire et l'amitié de Lagneau.
La tragédie de Lagneau : Dans ce long chapitre, c'est Marcel qui met son génie de l'intrigue au service de son ami. Thème sous-jacent : La crainte de l'autorité paternelle (du père mais aussi celles des professeurs) est aussi nécessaire que leur bienveillance. « Pour que les gens méritent notre confiance, il faut d'abord la leur donner. »
La partie de boules de Joseph : Les vacances aux Bellons avec un émouvant revenez-y du fameux coup du roi de La Gloire de mon père.
Zizi : En classe de quatrième, au-delà des gags scolaires, il apprend que même une tricherie basée sur la copie des auteurs développe le goût du travail et l'ingéniosité.
Je suis poète : Tout en s'excusant de la vanité de s'être crû poète à 13 ans, Marcel nous confirme sa fascination de la magie des mots et des sons, le génie de leur choix judicieux et un talent inégalé pour leur explication à la fois imaginative et redoutablement pertinente.
Rencontre d'Yves : c'est la rencontre du personnage qui va réunir les deux mondes chers à Pagnol, l'école érudite et les collines sauvages, amitié tardive qui condense celle d'un Lili et d'un Lagneau. Ce chapitre est aussi le maillon de transition avec le suivant.
Monsieur Sylvain : c'est la rencontre hallucinante des deux adolescents avec le capitaine Sylvain Bérard au cœur des collines. Bien que s'avouant lui même fou, Monsieur Sylvain leur apparait comme un « savant original » doublé d'un Mond des Parpaillouns. Homme attachant dont la folie raisonnante et démontrante, à la limite du délire scientifique, exprimait à merveille la frustration intolérable que ressentent certains élèves littéraires vis-à-vis des sciences qu'ils ont dû sacrifier.
Les pestiférés : Ce bel épisode de la peste à Marseille en 1720, que Pagnol place dans bouche de Monsieur Sylvain, était à l'origine beaucoup plus court. Son style détonne des autres écrits de Pagnol, y compris de celui de son essai historique sur le Masque de Fer, au point que Marcel s'amusait à le raconter, en l'allongeant à chaque fois, à ses amis sans leur dire qu'il en était l'auteur. Inachevé, il laisse le lecteur sur sa faim, après l'avoir toutefois comblé d'un superbe récit
Les amours de Lagneau : Ce dernier chapitre se déroule à quelques mois du "Bachot". Pagnol, jeune homme de 16 ans, met ses dons de poète au service de Lagneau pour séduire une jeune demoiselle. Dans ce récit particulièrement drôle et touchant Pagnol voit son ami, plus paresseux et plus insouciant que jamais, changer en amoureux transi. Le dénouement offre un contraste singulier entre la correspondance, longue et enflammée, des tourtereaux, et leur première rencontre effective.Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : krennardiezh Souvenirs d'enfance, 4. Le Temps des amours [testenn voulet] / Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour . - Julliard, 1977 . - 329 p.
ISBN : 978-2-260-00078-5
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Ce volume contient le dernier tome des "Souvenirs d'enfance" ainsi qu'un roman de jeunesse, "La Petite fille aux yeux sombres". Notenn diwar-benn danvez an teul : Le Temps des amours se compose de dix chapitres, retrouvés dans les dossiers de l'auteur après sa mort, et réunis en l'état par l'éditeur Bernard de Fallois. Un bon nombre de ces textes avaient toutefois acquis leur forme définitive, Marcel Pagnol ayant autorisé leur publication dans quelques magazines.
La plus grande part relate des épisodes de sa vie de demi-pensionnaire au Lycée Thiers de Marseille où il est entré en 1905, panachés d'aventures de vacances dans ses chères collines, et où les amours, platoniques, n'apparaissent finalement que dans un seul chapitre, consacré à l'Agneau. En fait Pagnol pensait refondre une partie des Souvenirs déjà publiés pour faire commencer celui-ci par l'aventure d'Isabelle, puis il abandonna soudain son projet de quatrième tome.
La Société secrète : présentation des principaux acteurs de sa nouvelle vie en classe de sixième, qui supplante sa vie familiale. Pagnol y décrit à merveille le besoin inné de l'adolescent de se créer une société cachée, sorte de cocon où l'insecte peut achever sa première métamorphose.
L'affaire des pendus : En classe de cinquième, Marcel découvre dans la foulée l'ablatif absolu, la punition scolaire et l'amitié de Lagneau.
La tragédie de Lagneau : Dans ce long chapitre, c'est Marcel qui met son génie de l'intrigue au service de son ami. Thème sous-jacent : La crainte de l'autorité paternelle (du père mais aussi celles des professeurs) est aussi nécessaire que leur bienveillance. « Pour que les gens méritent notre confiance, il faut d'abord la leur donner. »
La partie de boules de Joseph : Les vacances aux Bellons avec un émouvant revenez-y du fameux coup du roi de La Gloire de mon père.
Zizi : En classe de quatrième, au-delà des gags scolaires, il apprend que même une tricherie basée sur la copie des auteurs développe le goût du travail et l'ingéniosité.
Je suis poète : Tout en s'excusant de la vanité de s'être crû poète à 13 ans, Marcel nous confirme sa fascination de la magie des mots et des sons, le génie de leur choix judicieux et un talent inégalé pour leur explication à la fois imaginative et redoutablement pertinente.
Rencontre d'Yves : c'est la rencontre du personnage qui va réunir les deux mondes chers à Pagnol, l'école érudite et les collines sauvages, amitié tardive qui condense celle d'un Lili et d'un Lagneau. Ce chapitre est aussi le maillon de transition avec le suivant.
Monsieur Sylvain : c'est la rencontre hallucinante des deux adolescents avec le capitaine Sylvain Bérard au cœur des collines. Bien que s'avouant lui même fou, Monsieur Sylvain leur apparait comme un « savant original » doublé d'un Mond des Parpaillouns. Homme attachant dont la folie raisonnante et démontrante, à la limite du délire scientifique, exprimait à merveille la frustration intolérable que ressentent certains élèves littéraires vis-à-vis des sciences qu'ils ont dû sacrifier.
Les pestiférés : Ce bel épisode de la peste à Marseille en 1720, que Pagnol place dans bouche de Monsieur Sylvain, était à l'origine beaucoup plus court. Son style détonne des autres écrits de Pagnol, y compris de celui de son essai historique sur le Masque de Fer, au point que Marcel s'amusait à le raconter, en l'allongeant à chaque fois, à ses amis sans leur dire qu'il en était l'auteur. Inachevé, il laisse le lecteur sur sa faim, après l'avoir toutefois comblé d'un superbe récit
Les amours de Lagneau : Ce dernier chapitre se déroule à quelques mois du "Bachot". Pagnol, jeune homme de 16 ans, met ses dons de poète au service de Lagneau pour séduire une jeune demoiselle. Dans ce récit particulièrement drôle et touchant Pagnol voit son ami, plus paresseux et plus insouciant que jamais, changer en amoureux transi. Le dénouement offre un contraste singulier entre la correspondance, longue et enflammée, des tourtereaux, et leur première rencontre effective.Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : krennardiezh Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem BSG PAG lennegezh Naoned 702550 E stad vat
Vak Souvenirs d'enfance, 4. Le Temps des amours / Marcel Pagnol / Paris : Editions de Fallois (1988)
Titl an heuliad : Souvenirs d'enfance, 4 Titl : Le Temps des amours Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour Embanner : Paris : Editions de Fallois, 1988 Niver a bajennoù : 284 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87706-053-0 Priz : 34,00F Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Ce volume contient le dernier tome des "Souvenirs d'enfance" Notenn diwar-benn danvez an teul : Le Temps des amours se compose de dix chapitres, retrouvés dans les dossiers de l'auteur après sa mort, et réunis en l'état par l'éditeur Bernard de Fallois. Un bon nombre de ces textes avaient toutefois acquis leur forme définitive, Marcel Pagnol ayant autorisé leur publication dans quelques magazines.
La plus grande part relate des épisodes de sa vie de demi-pensionnaire au Lycée Thiers de Marseille où il est entré en 1905, panachés d'aventures de vacances dans ses chères collines, et où les amours, platoniques, n'apparaissent finalement que dans un seul chapitre, consacré à l'Agneau. En fait Pagnol pensait refondre une partie des Souvenirs déjà publiés pour faire commencer celui-ci par l'aventure d'Isabelle, puis il abandonna soudain son projet de quatrième tome.
La Société secrète : présentation des principaux acteurs de sa nouvelle vie en classe de sixième, qui supplante sa vie familiale. Pagnol y décrit à merveille le besoin inné de l'adolescent de se créer une société cachée, sorte de cocon où l'insecte peut achever sa première métamorphose.
L'affaire des pendus : En classe de cinquième, Marcel découvre dans la foulée l'ablatif absolu, la punition scolaire et l'amitié de Lagneau.
La tragédie de Lagneau : Dans ce long chapitre, c'est Marcel qui met son génie de l'intrigue au service de son ami. Thème sous-jacent : La crainte de l'autorité paternelle (du père mais aussi celles des professeurs) est aussi nécessaire que leur bienveillance. « Pour que les gens méritent notre confiance, il faut d'abord la leur donner. »
La partie de boules de Joseph : Les vacances aux Bellons avec un émouvant revenez-y du fameux coup du roi de La Gloire de mon père.
Zizi : En classe de quatrième, au-delà des gags scolaires, il apprend que même une tricherie basée sur la copie des auteurs développe le goût du travail et l'ingéniosité.
Je suis poète : Tout en s'excusant de la vanité de s'être crû poète à 13 ans, Marcel nous confirme sa fascination de la magie des mots et des sons, le génie de leur choix judicieux et un talent inégalé pour leur explication à la fois imaginative et redoutablement pertinente.
Rencontre d'Yves : c'est la rencontre du personnage qui va réunir les deux mondes chers à Pagnol, l'école érudite et les collines sauvages, amitié tardive qui condense celle d'un Lili et d'un Lagneau. Ce chapitre est aussi le maillon de transition avec le suivant.
Monsieur Sylvain : c'est la rencontre hallucinante des deux adolescents avec le capitaine Sylvain Bérard au cœur des collines. Bien que s'avouant lui même fou, Monsieur Sylvain leur apparait comme un « savant original » doublé d'un Mond des Parpaillouns. Homme attachant dont la folie raisonnante et démontrante, à la limite du délire scientifique, exprimait à merveille la frustration intolérable que ressentent certains élèves littéraires vis-à-vis des sciences qu'ils ont dû sacrifier.
Les pestiférés : Ce bel épisode de la peste à Marseille en 1720, que Pagnol place dans bouche de Monsieur Sylvain, était à l'origine beaucoup plus court. Son style détonne des autres écrits de Pagnol, y compris de celui de son essai historique sur le Masque de Fer, au point que Marcel s'amusait à le raconter, en l'allongeant à chaque fois, à ses amis sans leur dire qu'il en était l'auteur. Inachevé, il laisse le lecteur sur sa faim, après l'avoir toutefois comblé d'un superbe récit
Les amours de Lagneau : Ce dernier chapitre se déroule à quelques mois du "Bachot". Pagnol, jeune homme de 16 ans, met ses dons de poète au service de Lagneau pour séduire une jeune demoiselle. Dans ce récit particulièrement drôle et touchant Pagnol voit son ami, plus paresseux et plus insouciant que jamais, changer en amoureux transi. Le dénouement offre un contraste singulier entre la correspondance, longue et enflammée, des tourtereaux, et leur première rencontre effective.Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : krennardiezh Souvenirs d'enfance, 4. Le Temps des amours [testenn voulet] / Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour . - Paris : Editions de Fallois, 1988 . - 284 p.
ISBN : 978-2-87706-053-0 : 34,00F
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Ce volume contient le dernier tome des "Souvenirs d'enfance" Notenn diwar-benn danvez an teul : Le Temps des amours se compose de dix chapitres, retrouvés dans les dossiers de l'auteur après sa mort, et réunis en l'état par l'éditeur Bernard de Fallois. Un bon nombre de ces textes avaient toutefois acquis leur forme définitive, Marcel Pagnol ayant autorisé leur publication dans quelques magazines.
La plus grande part relate des épisodes de sa vie de demi-pensionnaire au Lycée Thiers de Marseille où il est entré en 1905, panachés d'aventures de vacances dans ses chères collines, et où les amours, platoniques, n'apparaissent finalement que dans un seul chapitre, consacré à l'Agneau. En fait Pagnol pensait refondre une partie des Souvenirs déjà publiés pour faire commencer celui-ci par l'aventure d'Isabelle, puis il abandonna soudain son projet de quatrième tome.
La Société secrète : présentation des principaux acteurs de sa nouvelle vie en classe de sixième, qui supplante sa vie familiale. Pagnol y décrit à merveille le besoin inné de l'adolescent de se créer une société cachée, sorte de cocon où l'insecte peut achever sa première métamorphose.
L'affaire des pendus : En classe de cinquième, Marcel découvre dans la foulée l'ablatif absolu, la punition scolaire et l'amitié de Lagneau.
La tragédie de Lagneau : Dans ce long chapitre, c'est Marcel qui met son génie de l'intrigue au service de son ami. Thème sous-jacent : La crainte de l'autorité paternelle (du père mais aussi celles des professeurs) est aussi nécessaire que leur bienveillance. « Pour que les gens méritent notre confiance, il faut d'abord la leur donner. »
La partie de boules de Joseph : Les vacances aux Bellons avec un émouvant revenez-y du fameux coup du roi de La Gloire de mon père.
Zizi : En classe de quatrième, au-delà des gags scolaires, il apprend que même une tricherie basée sur la copie des auteurs développe le goût du travail et l'ingéniosité.
Je suis poète : Tout en s'excusant de la vanité de s'être crû poète à 13 ans, Marcel nous confirme sa fascination de la magie des mots et des sons, le génie de leur choix judicieux et un talent inégalé pour leur explication à la fois imaginative et redoutablement pertinente.
Rencontre d'Yves : c'est la rencontre du personnage qui va réunir les deux mondes chers à Pagnol, l'école érudite et les collines sauvages, amitié tardive qui condense celle d'un Lili et d'un Lagneau. Ce chapitre est aussi le maillon de transition avec le suivant.
Monsieur Sylvain : c'est la rencontre hallucinante des deux adolescents avec le capitaine Sylvain Bérard au cœur des collines. Bien que s'avouant lui même fou, Monsieur Sylvain leur apparait comme un « savant original » doublé d'un Mond des Parpaillouns. Homme attachant dont la folie raisonnante et démontrante, à la limite du délire scientifique, exprimait à merveille la frustration intolérable que ressentent certains élèves littéraires vis-à-vis des sciences qu'ils ont dû sacrifier.
Les pestiférés : Ce bel épisode de la peste à Marseille en 1720, que Pagnol place dans bouche de Monsieur Sylvain, était à l'origine beaucoup plus court. Son style détonne des autres écrits de Pagnol, y compris de celui de son essai historique sur le Masque de Fer, au point que Marcel s'amusait à le raconter, en l'allongeant à chaque fois, à ses amis sans leur dire qu'il en était l'auteur. Inachevé, il laisse le lecteur sur sa faim, après l'avoir toutefois comblé d'un superbe récit
Les amours de Lagneau : Ce dernier chapitre se déroule à quelques mois du "Bachot". Pagnol, jeune homme de 16 ans, met ses dons de poète au service de Lagneau pour séduire une jeune demoiselle. Dans ce récit particulièrement drôle et touchant Pagnol voit son ami, plus paresseux et plus insouciant que jamais, changer en amoureux transi. Le dénouement offre un contraste singulier entre la correspondance, longue et enflammée, des tourtereaux, et leur première rencontre effective.Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : krennardiezh Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG PAG lennegezh Naoned 702368 E stad vat
Vak Topaze / Marcel Pagnol / De Fallois (1988)
Titl : Topaze Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour Embanner : De Fallois, 1988 Niver a bajennoù : 252 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87706-059-2 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Un modeste professeur, honnête, naïf et méprisé, se trouve embauché par un conseiller municipal véreux qui veut l'utiliser comme prête-nom... Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Topaze [testenn voulet] / Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour . - De Fallois, 1988 . - 252 p.
ISBN : 978-2-87706-059-2
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Diverradenn : Un modeste professeur, honnête, naïf et méprisé, se trouve embauché par un conseiller municipal véreux qui veut l'utiliser comme prête-nom... Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Da vezañ miret
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Vak Topaze / Marcel Pagnol / De Fallois (1988)
Titl : Topaze Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour Embanner : De Fallois, 1988 Niver a bajennoù : 252 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87706-059-2 Priz : 5,20 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Pendant mon séjour à Paris, j'avais rencontré, au hasard des brasseries ou des répétitions générales, des hommes d'affaires, des courtiers, des politiciens des " agents immobiliers ", dont les procédés me disait-on, n'étaient pas tout à fait catholiques. Une nuit, dans un train, en revenant de Marseille, je pensais donc que j'allais retrouver à Paris, bien des gens qui ne valaient pas mes instituteurs, et que si mon père n'avait pas été paralysé par son idéal, par ses principes, par son respect des autres, il aurait pu réussir aussi bien qu'eux ; il est plus facile de faire des affaires que des hommes. C'est alors que j'eus l'idée d'écrire un jour une pièce de théâtre où l'on verrait un homme pur entraîné - sans rien y comprendre - dans de louches combinaisons. Il fallait cependant une excuse à sa naïveté, pour qu'elle ne parût pas exagérée. Je pensais aussitôt à l'amour, qui rend souvent stupides des gens très intelligents...Enfin, lorsqu'il découvrirait - avec une grande amertume - la toute puissance de l'argent, il se révolterait : puis, déjà contaminé lui-même, il accepterait les nouvelles règles du jeu. Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Danvez ar faltaziadenn : karantez/karantez-breur/karantez-mamm/karantez-tad Topaze [testenn voulet] / Marcel Pagnol (1895-1974), Oberour . - De Fallois, 1988 . - 252 p.
ISBN : 978-2-87706-059-2 : 5,20 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Pendant mon séjour à Paris, j'avais rencontré, au hasard des brasseries ou des répétitions générales, des hommes d'affaires, des courtiers, des politiciens des " agents immobiliers ", dont les procédés me disait-on, n'étaient pas tout à fait catholiques. Une nuit, dans un train, en revenant de Marseille, je pensais donc que j'allais retrouver à Paris, bien des gens qui ne valaient pas mes instituteurs, et que si mon père n'avait pas été paralysé par son idéal, par ses principes, par son respect des autres, il aurait pu réussir aussi bien qu'eux ; il est plus facile de faire des affaires que des hommes. C'est alors que j'eus l'idée d'écrire un jour une pièce de théâtre où l'on verrait un homme pur entraîné - sans rien y comprendre - dans de louches combinaisons. Il fallait cependant une excuse à sa naïveté, pour qu'elle ne parût pas exagérée. Je pensais aussitôt à l'amour, qui rend souvent stupides des gens très intelligents...Enfin, lorsqu'il découvrirait - avec une grande amertume - la toute puissance de l'argent, il se révolterait : puis, déjà contaminé lui-même, il accepterait les nouvelles règles du jeu. Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Danvez ar faltaziadenn : karantez/karantez-breur/karantez-mamm/karantez-tad Da vezañ miret
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