Diwar-benn an oberour
Oberour Roger W. Allard |
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Sir Nigel / Arthur Conan Doyle / Phébus (1995)
Titl : Sir Nigel Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Arthur Conan Doyle (1859-1930), Oberour ; Roger W. Allard, Troer Embanner : Phébus, 1995 Dastumad : D'aujourd'hui Isdastumad : Etranger Niver a bajennoù : 348 p. Sk. : Skeudenn war ar golo Mentoù : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-85940-391-4 Priz : 144 F Notenn hollek : Da vezañ lennet asambles gant "La Compagnie Blanche" Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Saozneg (eng) Diverradenn : Il n'est pas de tout repos de se retrouver, en l'an de grâce 1348, dans la peau d'un orphelin de vingt ans – eût-on même, comme le jeune Nigel Loring, le plus noble sang dans les veines. La guerre avec la France s'est rouverte avec fracas neuf années plus tôt… et si personne ne peut encore imaginer qu'elle va durer cent ans, on devine qu'elle sera longue et que les coups y pleuvront comme jamais. Et pour faire bonne mesure, voilà que le diable s'en mêle et dépêche aux humains le noir fléau de la peste : quand l'épidémie – qui frappe toute l'Europe – prend fin, la population des villes et des campagnes est quasi divisée par deux. Chacun comprend qu'un monde vient de disparaître, qu'un autre s'annonce. Verra-t-il les hommes plus sages ? Ça, c'est une autre affaire. Or donc, Nigel Loring, qui a perdu son valeureux père, enrage en son pauvre castel du Hampshire, dans la seule compagnie de sa mère, lady Ermyntrude. La noble demeure menace ruine, et ses nobles habitants n'ont pas beaucoup plus dans leur écuelle que les manants du coin, qui triment quatre saisons l'an pour arracher à la terre quelques brassées de blé noir. Enfin, pour couronner le tout, les moines cisterciens tiennent une riche abbaye à Waverley, à quatre pas de là, et les saints hommes s'entendent comme pas deux pour vous déposséder au nom du ciel des quelques arpents qui vous restent… quand ils ne vous lâchent pas aux chausses leur sinistre procureur sous prétexte de dîmes impayées (l'anticléricalisme qui baigne tout le récit, fondé sur une étude attentive des documents d'époque, est prétexte à des scènes pleines de drôlerie). Par chance, la dureté même des temps est propice aux âmes bien trempées, qui n'ont que l'embarras du choix lorsqu'arrive l'heure de mettre son épée au service de quelque cause, bonne ou mauvaise. Car les preux chevaliers, comme bien l'on devine, sont plus rares que les canailles – lesquelles se recrutent du bas jusques en haut de la société. On aura garde de révéler ici le détail des tribulations qui attendent le jeune Nigel sur sa route, où les embûches – pour notre délectation – sont à chaque pas. Comment le gamin, pourtant malingre – mais vif comme écureuil des bois et tout en griffes pour peu qu'on lui cherche noise –, est remarqué par le roi Edouard… comment il s'en ira guerroyer sur mer contre l'Espagnol… comment il fera ses preuves en Bretagne française… comment il se lie d'amitié avec l'illustre John Chandos (le grand rival de Du Guesclin)… comment il en découdra avec plus d'un, trinquera avec force compagnons, tiendra bravement sa place en maint banquet comme en mainte échauffourée… comment, surtout, il finira par conquérir les deux biens les plus précieux en ce monde – l'amitié de ses frères d'armes et l'amour des dames… le lecteur le découvrira bien tout seul. On le laisse en tout cas en une compagnie où l'ennui n'existe pas. Que peut réclamer de plus un mortel ? Notenn diwar-benn danvez an teul : Romant a-zivout Brezel Kant Vloaz Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : brezel Sir Nigel [testenn voulet] / Arthur Conan Doyle (1859-1930), Oberour ; Roger W. Allard, Troer . - Phébus, 1995 . - 348 p. : Skeudenn war ar golo ; 21 cm. - (D'aujourd'hui. Etranger) .
ISBN : 2-85940-391-4 : 144 F
Da vezañ lennet asambles gant "La Compagnie Blanche"
Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Saozneg (eng)
Diverradenn : Il n'est pas de tout repos de se retrouver, en l'an de grâce 1348, dans la peau d'un orphelin de vingt ans – eût-on même, comme le jeune Nigel Loring, le plus noble sang dans les veines. La guerre avec la France s'est rouverte avec fracas neuf années plus tôt… et si personne ne peut encore imaginer qu'elle va durer cent ans, on devine qu'elle sera longue et que les coups y pleuvront comme jamais. Et pour faire bonne mesure, voilà que le diable s'en mêle et dépêche aux humains le noir fléau de la peste : quand l'épidémie – qui frappe toute l'Europe – prend fin, la population des villes et des campagnes est quasi divisée par deux. Chacun comprend qu'un monde vient de disparaître, qu'un autre s'annonce. Verra-t-il les hommes plus sages ? Ça, c'est une autre affaire. Or donc, Nigel Loring, qui a perdu son valeureux père, enrage en son pauvre castel du Hampshire, dans la seule compagnie de sa mère, lady Ermyntrude. La noble demeure menace ruine, et ses nobles habitants n'ont pas beaucoup plus dans leur écuelle que les manants du coin, qui triment quatre saisons l'an pour arracher à la terre quelques brassées de blé noir. Enfin, pour couronner le tout, les moines cisterciens tiennent une riche abbaye à Waverley, à quatre pas de là, et les saints hommes s'entendent comme pas deux pour vous déposséder au nom du ciel des quelques arpents qui vous restent… quand ils ne vous lâchent pas aux chausses leur sinistre procureur sous prétexte de dîmes impayées (l'anticléricalisme qui baigne tout le récit, fondé sur une étude attentive des documents d'époque, est prétexte à des scènes pleines de drôlerie). Par chance, la dureté même des temps est propice aux âmes bien trempées, qui n'ont que l'embarras du choix lorsqu'arrive l'heure de mettre son épée au service de quelque cause, bonne ou mauvaise. Car les preux chevaliers, comme bien l'on devine, sont plus rares que les canailles – lesquelles se recrutent du bas jusques en haut de la société. On aura garde de révéler ici le détail des tribulations qui attendent le jeune Nigel sur sa route, où les embûches – pour notre délectation – sont à chaque pas. Comment le gamin, pourtant malingre – mais vif comme écureuil des bois et tout en griffes pour peu qu'on lui cherche noise –, est remarqué par le roi Edouard… comment il s'en ira guerroyer sur mer contre l'Espagnol… comment il fera ses preuves en Bretagne française… comment il se lie d'amitié avec l'illustre John Chandos (le grand rival de Du Guesclin)… comment il en découdra avec plus d'un, trinquera avec force compagnons, tiendra bravement sa place en maint banquet comme en mainte échauffourée… comment, surtout, il finira par conquérir les deux biens les plus précieux en ce monde – l'amitié de ses frères d'armes et l'amour des dames… le lecteur le découvrira bien tout seul. On le laisse en tout cas en une compagnie où l'ennui n'existe pas. Que peut réclamer de plus un mortel ? Notenn diwar-benn danvez an teul : Romant a-zivout Brezel Kant Vloaz Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : brezel Skouerennoù
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