Diwar-benn an oberour
Oberour Anton Tchekhov |
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La cerisaie / Anton Tchekhov / Livre de Poche (2015)
Titl : La cerisaie Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Anton Tchekhov, Oberour Embanner : Livre de Poche, 2015 Dastumad : Théâtre de Poche Niver a bajennoù : 154 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-04589-2 Priz : 3.10 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : « Songez que je suis née ici, que mon père, ma mère, mon grand-père vivaient ici : j'aime cette maison. Sans la Cerisaie je ne comprends pas ma propre vie et, s'il faut vraiment vendre, qu'on me vende avec le jardin... »
La propriété a beau représenter pour Lioubov son enfance et le souvenir d'une vie de nonchalance, Lopakhine, ancien serf devenu marchand, l'achètera, mais afin d'en abattre les arbres comme si, pour posséder cette Cerisaie de peu de rendement mais qui le relie pourtant lui-même aux temps anciens, il fallait d'abord la détruire parce qu'ici la beauté et la mort ont partie liée.
En 1904, c'est ainsi la fin du monde aristocratique et l'entrée triomphante d'une classe d'entrepreneurs que Tchekhov met en scène jusqu'aux coups de hache qui meurtrissent le silence, quand les acteurs se sont retirés. Et lui-même mourra quelques mois plus tard.Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva La cerisaie [testenn voulet] / Anton Tchekhov, Oberour . - Livre de Poche, 2015 . - 154 p.. - (Théâtre de Poche) .
ISBN : 978-2-253-04589-2 : 3.10 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : « Songez que je suis née ici, que mon père, ma mère, mon grand-père vivaient ici : j'aime cette maison. Sans la Cerisaie je ne comprends pas ma propre vie et, s'il faut vraiment vendre, qu'on me vende avec le jardin... »
La propriété a beau représenter pour Lioubov son enfance et le souvenir d'une vie de nonchalance, Lopakhine, ancien serf devenu marchand, l'achètera, mais afin d'en abattre les arbres comme si, pour posséder cette Cerisaie de peu de rendement mais qui le relie pourtant lui-même aux temps anciens, il fallait d'abord la détruire parce qu'ici la beauté et la mort ont partie liée.
En 1904, c'est ainsi la fin du monde aristocratique et l'entrée triomphante d'une classe d'entrepreneurs que Tchekhov met en scène jusqu'aux coups de hache qui meurtrissent le silence, quand les acteurs se sont retirés. Et lui-même mourra quelques mois plus tard.Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem PG TCH lennegezh Karaez 503542 E stad vat
Vak La Cerisaie / Anton Tchekhov / Librairie Générale Française (1967)
Titl : La Cerisaie : Suivi de La Mouette Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Anton Tchekhov, Oberour ; Jean Vilar (1912-1971), Saver rakskrid, ... ; Georges Perros, Troer ; Genia Cannac, Troer Embanner : Librairie Générale Française, 1967 Dastumad : Livre de Poche Niver a bajennoù : 190 p Sk. : Skeudenn war ar golo Priz : 2,00 € Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Russe (rus) Diverradenn : En cette fin de XIXe siècle, l'été s'installe doucement en Russie dans la propriété de Lioubov Andréevna, tout juste revenue de Paris après cinq ans d'absence. En compagnie de son frère Gaev et de quelques parents et amis, elle contemple les délicates fleurs des innombrables cerisiers de la propriété onduler doucement dans la brise, en pensant au passé. Rien ne semble avoir changé depuis l'âge d'or de son enfance. Pourtant rien n'est plus comme avant. Lioubov a dilapidé son héritage au profit d'un amant français, et la propriété ne rapporte plus autant de revenus que du temps de ses parents. Aveuglés par la nostalgie, le frère et la sœur refusent pourtant d'adapter leur chère cerisaie aux nouvelles contraintes de cette Russie moderne en pleine émergence. « Chacun d'entre nous a sa Cerisaie intérieure », remarque Rouslan Kats, le directeur de production de La Cerisaie, en faisant référence à notre attachement aux lieux évoquant des moments heureux.
La mouette est le symbole de l'histoire de Nina, aimée par Konstantin qui lui a écrit une pièce. Persuadée de sa vocation d'actrice, elle s'enfuit avec Trigorine, un écrivain reconnu, amant de la mère de Konstantin. Mais elle ne rencontrera pas la réussite, reniée par sa famille et délaissée par son amant. Lorsque, à l'acte II, Trigorine voit une mouette que Konstantin a abattue, il imagine comment il pourrait en faire le sujet d'une nouvelle : “Une jeune fille passe toute sa vie sur le rivage d'un lac. Elle aime le lac, comme une mouette, et elle est heureuse et libre, comme une mouette. Mais un homme arrive par hasard et, quand il la voit, par désœuvrement la fait périr. Comme cette mouette”. La mouette devient le symbole de l'existence de Nina, heureuse près de son plan d'eau mais détruite par le chasseur Trigorine.
La pièce est aussi la double histoire de Konstantin, qui d'une part affronte sa mère en cherchant en vain à lui faire reconnaître sa valeur et d'autre part, depuis la trahison de Nina, se noie dans l'espoir de retrouver un jour sa bien-aimée. Lorsque celle-ci lui rend visite une dernière fois, deux ans après son départ, elle laisse à Konstantin la certitude que sa vie est maudite.Doare an teul : levr faltazi Danvez ar faltaziadenn : drama La Cerisaie : Suivi de La Mouette [testenn voulet] / Anton Tchekhov, Oberour ; Jean Vilar (1912-1971), Saver rakskrid, ... ; Georges Perros, Troer ; Genia Cannac, Troer . - Librairie Générale Française, 1967 . - 190 p : Skeudenn war ar golo. - (Livre de Poche) .
2,00 €
Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Russe (rus)
Diverradenn : En cette fin de XIXe siècle, l'été s'installe doucement en Russie dans la propriété de Lioubov Andréevna, tout juste revenue de Paris après cinq ans d'absence. En compagnie de son frère Gaev et de quelques parents et amis, elle contemple les délicates fleurs des innombrables cerisiers de la propriété onduler doucement dans la brise, en pensant au passé. Rien ne semble avoir changé depuis l'âge d'or de son enfance. Pourtant rien n'est plus comme avant. Lioubov a dilapidé son héritage au profit d'un amant français, et la propriété ne rapporte plus autant de revenus que du temps de ses parents. Aveuglés par la nostalgie, le frère et la sœur refusent pourtant d'adapter leur chère cerisaie aux nouvelles contraintes de cette Russie moderne en pleine émergence. « Chacun d'entre nous a sa Cerisaie intérieure », remarque Rouslan Kats, le directeur de production de La Cerisaie, en faisant référence à notre attachement aux lieux évoquant des moments heureux.
La mouette est le symbole de l'histoire de Nina, aimée par Konstantin qui lui a écrit une pièce. Persuadée de sa vocation d'actrice, elle s'enfuit avec Trigorine, un écrivain reconnu, amant de la mère de Konstantin. Mais elle ne rencontrera pas la réussite, reniée par sa famille et délaissée par son amant. Lorsque, à l'acte II, Trigorine voit une mouette que Konstantin a abattue, il imagine comment il pourrait en faire le sujet d'une nouvelle : “Une jeune fille passe toute sa vie sur le rivage d'un lac. Elle aime le lac, comme une mouette, et elle est heureuse et libre, comme une mouette. Mais un homme arrive par hasard et, quand il la voit, par désœuvrement la fait périr. Comme cette mouette”. La mouette devient le symbole de l'existence de Nina, heureuse près de son plan d'eau mais détruite par le chasseur Trigorine.
La pièce est aussi la double histoire de Konstantin, qui d'une part affronte sa mère en cherchant en vain à lui faire reconnaître sa valeur et d'autre part, depuis la trahison de Nina, se noie dans l'espoir de retrouver un jour sa bien-aimée. Lorsque celle-ci lui rend visite une dernière fois, deux ans après son départ, elle laisse à Konstantin la certitude que sa vie est maudite.Doare an teul : levr faltazi Danvez ar faltaziadenn : drama Skouerennoù
Cote Section Localisation Code-barres Statud skouerenn ebet La mouette / Anton Tchekhov / Actes sud (1985)
Titl : La mouette Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Anton Tchekhov, Oberour Embanner : Actes sud, 1985 Dastumad : Le livre de poche ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-03777-4 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : " Je peux planter un bâton, il prendra ", dit Tchékhov, parlant de ses dons de jardinier. De la même façon, il plante ses personnages autour d'une table et les voilà aussitôt qui jaillissent de la scène, comme d'un terreau. " Les gens dînent, ils ne font que dîner et pendant ce temps s'édifie leur bonheur ou se brise leur vie. " La Mouette, par exemple, où le temps n'en finit pas de s'écouler, où l'amour n'est jamais payé de retour, s'achève même sur une tragédie. Jardinier des lettres, Tchékhov sème des mots simples, de petites graines grises, sans odeur ni saveur particulières et ô miracle, nous les voyons fleurir comme en rêve, prendre des couleurs d'une tendresse surnaturelle.
Et dans le silence, ce que nous entendons, c'est la musique de l'âme.Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva La mouette [testenn voulet] / Anton Tchekhov, Oberour . - Actes sud, 1985. - (Le livre de poche) .
ISBN : 978-2-253-03777-4
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : " Je peux planter un bâton, il prendra ", dit Tchékhov, parlant de ses dons de jardinier. De la même façon, il plante ses personnages autour d'une table et les voilà aussitôt qui jaillissent de la scène, comme d'un terreau. " Les gens dînent, ils ne font que dîner et pendant ce temps s'édifie leur bonheur ou se brise leur vie. " La Mouette, par exemple, où le temps n'en finit pas de s'écouler, où l'amour n'est jamais payé de retour, s'achève même sur une tragédie. Jardinier des lettres, Tchékhov sème des mots simples, de petites graines grises, sans odeur ni saveur particulières et ô miracle, nous les voyons fleurir comme en rêve, prendre des couleurs d'une tendresse surnaturelle.
Et dans le silence, ce que nous entendons, c'est la musique de l'âme.Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Da vezañ miret
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Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem PG TCH lennegezh Karaez 503851 E stad vat
Vak Platonov / Anton Tchekhov / Actes sud (2014)
Titl : Platonov : Version intégrale ; théâtre Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Anton Tchekhov, Oberour ; André Markowicz, Troer ; Françoise Morvan, Troer Embanner : Actes sud, 2014 Dastumad : Babel Niver a bajennoù : 390 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-03733-8 Priz : 8,70 € Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Russe (rus) Diverradenn : Voici la première pièce d'un tout jeune auteur, âgé de vingt ans à peine. Cette oeuvre a pour héros un instituteur, vivant dans une petite bourgade du sud de la Russie, au siècle dernier, ami d'une jeune et riche veuve dont la propriété sera bientôt vendue pour éponger les dettes de son mari défunt. Ce jeune homme, promis à un brillant avenir, n'a pas réalisé les ambitions que lui-même et les autres lui prêtaient. Cet anti-héros, comme nous le définirions aujourd'hui, bavarde, plaisante, se soûle, provoque des scandales, courtise des femmes, est courtisé par elles, trompe son épouse, éprouve des remords, s'interroge sur le sens de sa vie tel un Hamlet de province, et puis meurt presque par hasard. Tous les personnages s'expriment dans une langue économe, simple, directe, qui nous touche immé¬ diatement et nous permet de réfléchir sur nos propres vies, nos lâchetés, nos espoirs, nos rêves, nos coups de folie, nos mensonges. Chaque jour, lorsque je quitte la salle de répétition, j'ai le sentiment curieux de suspendre artificiellement quelque chose qui, de toute façon, que je le veuille ou non, se poursuit dans la vie, l'accompagne. Alors, dans l'automobile qui me ramène chez moi, je bavarde et je ressens ce sentiment étrange que la pièce continue malgré moi. Je croise le regard d'une actrice, je surprends une hésitation dans sa conversation, le reflet d'un lampadaire dans une flaque d'eau, et je songe à Platonov, ce faux don juan, à sa manière de détourner de regard, à son désir de se taire, de se couper la langue alors que les mots jaillissent de sa bouche. Nous sommes fort loin de la " petite musique tchékhovienne ". Dès sa première grande oeuvre, Tchekhov frappe juste et fort. Tout est déjà là, débridé, monstrueux, comique, avec cette touche inimitable qui ouvre la modernité. L'art de l'éclipse, du silence, l'éloge de la banalité, le refus des idéologies - rien que l'homme seul devant son destin, privé de posture héroïque, seulement capable de prononcer à l'instant Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Platonov : Version intégrale ; théâtre [testenn voulet] / Anton Tchekhov, Oberour ; André Markowicz, Troer ; Françoise Morvan, Troer . - Actes sud, 2014 . - 390 p.. - (Babel) .
ISBN : 978-2-330-03733-8 : 8,70 €
Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Russe (rus)
Diverradenn : Voici la première pièce d'un tout jeune auteur, âgé de vingt ans à peine. Cette oeuvre a pour héros un instituteur, vivant dans une petite bourgade du sud de la Russie, au siècle dernier, ami d'une jeune et riche veuve dont la propriété sera bientôt vendue pour éponger les dettes de son mari défunt. Ce jeune homme, promis à un brillant avenir, n'a pas réalisé les ambitions que lui-même et les autres lui prêtaient. Cet anti-héros, comme nous le définirions aujourd'hui, bavarde, plaisante, se soûle, provoque des scandales, courtise des femmes, est courtisé par elles, trompe son épouse, éprouve des remords, s'interroge sur le sens de sa vie tel un Hamlet de province, et puis meurt presque par hasard. Tous les personnages s'expriment dans une langue économe, simple, directe, qui nous touche immé¬ diatement et nous permet de réfléchir sur nos propres vies, nos lâchetés, nos espoirs, nos rêves, nos coups de folie, nos mensonges. Chaque jour, lorsque je quitte la salle de répétition, j'ai le sentiment curieux de suspendre artificiellement quelque chose qui, de toute façon, que je le veuille ou non, se poursuit dans la vie, l'accompagne. Alors, dans l'automobile qui me ramène chez moi, je bavarde et je ressens ce sentiment étrange que la pièce continue malgré moi. Je croise le regard d'une actrice, je surprends une hésitation dans sa conversation, le reflet d'un lampadaire dans une flaque d'eau, et je songe à Platonov, ce faux don juan, à sa manière de détourner de regard, à son désir de se taire, de se couper la langue alors que les mots jaillissent de sa bouche. Nous sommes fort loin de la " petite musique tchékhovienne ". Dès sa première grande oeuvre, Tchekhov frappe juste et fort. Tout est déjà là, débridé, monstrueux, comique, avec cette touche inimitable qui ouvre la modernité. L'art de l'éclipse, du silence, l'éloge de la banalité, le refus des idéologies - rien que l'homme seul devant son destin, privé de posture héroïque, seulement capable de prononcer à l'instant Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem PB TCH lennegezh Karaez 503459 E stad vat
Vak Théâtre complet, 1. La Mouette / Anton Tchekhov / Gallimard (510 p.)
Titl an heuliad : Théâtre complet, 1 Titl : La Mouette : Ce fou de Platonov Ivanov. Les trois soeurs Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Anton Tchekhov, Oberour ; Roger Grenier, Saver rakskrid, ... Embanner : Gallimard, 510 p. Dastumad : Folio Niver a bajennoù : 510 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-036393-3 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Jeune dramaturge qui aimerait révolutionner le théâtre, Trépliev écrit une œuvre novatrice interprétée par Nina, une comédienne qui rêve de gloire et dont il est amoureux. La représentation a lieu dans la propriété de Sorine, un vieillard qui n'a pas su réaliser ses désirs les plus simples, en présence de la mère de Trépliev, actrice célèbre, et de son amant Trigorine, auteur réaliste de renom. La pièce est un échec et Nina abandonne Trépliev pour suivre Trigorine, qui l'abandonnera à son tour... Ici, point de héros grandiloquents, nulle action spectaculaire, mais des personnages émouvants qui, au fil de dialogues ténus, laissent entendre leur drame. Notenn diwar-benn danvez an teul : Tri fezh-c'hoari. Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Théâtre complet, 1. La Mouette : Ce fou de Platonov Ivanov. Les trois soeurs [testenn voulet] / Anton Tchekhov, Oberour ; Roger Grenier, Saver rakskrid, ... . - Gallimard, 510 p. . - 510 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-036393-3
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Jeune dramaturge qui aimerait révolutionner le théâtre, Trépliev écrit une œuvre novatrice interprétée par Nina, une comédienne qui rêve de gloire et dont il est amoureux. La représentation a lieu dans la propriété de Sorine, un vieillard qui n'a pas su réaliser ses désirs les plus simples, en présence de la mère de Trépliev, actrice célèbre, et de son amant Trigorine, auteur réaliste de renom. La pièce est un échec et Nina abandonne Trépliev pour suivre Trigorine, qui l'abandonnera à son tour... Ici, point de héros grandiloquents, nulle action spectaculaire, mais des personnages émouvants qui, au fil de dialogues ténus, laissent entendre leur drame. Notenn diwar-benn danvez an teul : Tri fezh-c'hoari. Doare an teul : levr faltazi Rumm : c'hoariva Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (2)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem LG TCH lennegezh Ar Releg-Kerhuon 202623 E stad vat
Vakc'hoariva PG TCH lennegezh Karaez 503568 E stad vat
Vak Théâtre complet, 2. La Cerisaie / Anton Tchekhov / Gallimard (1974)
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