Diwar-benn an oberour
Oberour George Sand |
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Indiana / George Sand / Gallimard (1984)
Titl : Indiana Doare an teul : testenn voulet Oberourien : George Sand, Oberour ; Béatrice Didier, Saver rakskrid, ... Embanner : Gallimard, 1984 Dastumad : Folio Niver a bajennoù : 395 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-037604-9 Priz : 7,90€ Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : «À Paris, Mme Dudevant est morte. Mais G. Sand est connu pour un vigoureux gaillard», écrit à propos d'Indiana, son premier roman, celle qui deviendra la bonne dame de Nohant mais n'est pour lors qu'une jeune femme vivant courageusement sa solitude après un mariage raté et quelques aventures aussi passionnées que décevantes. Indiana a fait George Sand et c'est à travers l'écriture que celle-ci a conquis sa liberté, sa dignité de femme, son identité même. «La cause que je défendais, dira-t-elle plus tard, est celle de la moitié du genre humain, celle du genre humain tout entier : car le malheur de la femme entraîne celui du maître.» Et : «J'ai écrit Indiana avec le sentiment non raisonné, mais profond et légitime, de l'injustice et de la barbarie des lois qui régissent encore l'existence de la femme dans le mariage, dans la famille et dans la société.» Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : maouezed Live : skolaj 4re Indiana [testenn voulet] / George Sand, Oberour ; Béatrice Didier, Saver rakskrid, ... . - Gallimard, 1984 . - 395 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-037604-9 : 7,90€
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : «À Paris, Mme Dudevant est morte. Mais G. Sand est connu pour un vigoureux gaillard», écrit à propos d'Indiana, son premier roman, celle qui deviendra la bonne dame de Nohant mais n'est pour lors qu'une jeune femme vivant courageusement sa solitude après un mariage raté et quelques aventures aussi passionnées que décevantes. Indiana a fait George Sand et c'est à travers l'écriture que celle-ci a conquis sa liberté, sa dignité de femme, son identité même. «La cause que je défendais, dira-t-elle plus tard, est celle de la moitié du genre humain, celle du genre humain tout entier : car le malheur de la femme entraîne celui du maître.» Et : «J'ai écrit Indiana avec le sentiment non raisonné, mais profond et légitime, de l'injustice et de la barbarie des lois qui régissent encore l'existence de la femme dans le mariage, dans la famille et dans la société.» Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : maouezed Live : skolaj 4re Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG SAN lennegezh Naoned 701703 E stad vat
Vak La mare au diable / George Sand / Presses Pocket (1989)
Titl : La mare au diable Doare an teul : testenn voulet Oberourien : George Sand, Oberour ; Claudette Sarlet, Saver rakskrid, ... Embanner : Presses Pocket, 1989 Dastumad : Lire et voir les classiques Niver a bajennoù : 239 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-266-03069-4 Priz : 32 F Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : George Sand, la femme habillée en homme le cigare aux lèvres. L'image colle à la réalité : George Sand, comme on le verra dans le dossier qui accompagne le roman, fut la première femme de lettres, écrivain engagé de surcroît. Chantre de la condition paysanne, inspirée par les paysages du Poitou cher à son coeur, elle a crée le roman rustique. Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant La mare au diable [testenn voulet] / George Sand, Oberour ; Claudette Sarlet, Saver rakskrid, ... . - Presses Pocket, 1989 . - 239 p. - (Lire et voir les classiques) .
ISBN : 978-2-266-03069-4 : 32 F
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : George Sand, la femme habillée en homme le cigare aux lèvres. L'image colle à la réalité : George Sand, comme on le verra dans le dossier qui accompagne le roman, fut la première femme de lettres, écrivain engagé de surcroît. Chantre de la condition paysanne, inspirée par les paysages du Poitou cher à son coeur, elle a crée le roman rustique. Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG SAN lennegezh Plijidi 002946 E stad vat
Vak La mare au Diable / George Sand / Le Livre de poche (1984)
Titl : La mare au Diable Doare an teul : testenn voulet Oberourien : George Sand, Oberour Embanner : Le Livre de poche, 1984 Niver a bajennoù : 168 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-00709-8 Diverradenn : On l'appelait la mare au Diable, car ses brumes, le soir, égaraient les voyageurs. Perdus à leur tour, Germain, Marie et le Petit Pierre sont forcés d'y passer la nuit. Le laboureur et la jeune fille ont le coeur triste. Germain va chercher une épouse pour s'occuper de ses enfants orphelins de leur mère. A quoi bon se marier, pense-t-il, quand l'amour n'y est pas. Et Marie a quitté sa mère, ce matin, en larmes, pour se louer comme bergère à la ferme des Ormeaux, si loin. Seul, Petit Pierre, le fils de Germain, est heureux et confiant. De lui dépendra le sort de ceux qu'il aime tant.
Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant La mare au Diable [testenn voulet] / George Sand, Oberour . - Le Livre de poche, 1984 . - 168 p.
ISBN : 978-2-253-00709-8
Diverradenn : On l'appelait la mare au Diable, car ses brumes, le soir, égaraient les voyageurs. Perdus à leur tour, Germain, Marie et le Petit Pierre sont forcés d'y passer la nuit. Le laboureur et la jeune fille ont le coeur triste. Germain va chercher une épouse pour s'occuper de ses enfants orphelins de leur mère. A quoi bon se marier, pense-t-il, quand l'amour n'y est pas. Et Marie a quitté sa mère, ce matin, en larmes, pour se louer comme bergère à la ferme des Ormeaux, si loin. Seul, Petit Pierre, le fils de Germain, est heureux et confiant. De lui dépendra le sort de ceux qu'il aime tant.
Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG SAN lennegezh Karaez 503870 E stad vat
Vak Marianne / George Sand / Magnard (2009)
Titl : Marianne Doare an teul : testenn voulet Oberourien : George Sand, Oberour ; François Tacot, Saver rakskrid, ... Embanner : Magnard, 2009 Dastumad : Classiques & contemporains num. 105 Niver a bajennoù : 142 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-210-75534-5 Priz : 3,50 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : « Marianne m’a profondément ému et deux ou trois fois j’ai pleuré. Je me suis reconnu dans le personnage de Pierre. Certaines pages me semblaient des fragments de mes mémoires si j’avais le talent de les écrire de cette manière ! Comme tout cela est charmant, poétique et vrai !... Marianne m’a littéralement enchanté. Les Anglais sont de mon avis car dans le dernier numéro de l’Athenœum on vous a fait un très bel article. Saviez-vous cela ? Ainsi donc pour cette fois je vous admire pleinement et sans la moindre réserve. »
C’est ainsi que Flaubert faisait part à George Sand de tout son enthousiasme après avoir lu Marianne. Ce roman court, que l’on pourrait rapprocher, par la taille, de « La Mare au diable » est incontestablement aujourd’hui un chef-d’œuvre méconnu. Pas une réédition depuis 1877. Et pourtant ! Dernier roman achevé par George Sand, quelques mois seulement avant sa mort, alors qu’elle approchait de son soixante-douzième anniversaire, Marianne, par sa concision même, semble le concentré de toute une œuvre – prolifique – voire de toute une vie. Comme Stendhal, George Sand aurait pu écrire : « L’amour a toujours été pour moi la plus grande des affaires, ou plutôt la seule. » Et ici, pas de superflu, quelques personnages seulement au centre de la scène, Pierre, un quadragénaire timide revenu vivre auprès de sa mère après de multiples aventures peu fructueuses, (c’est le personnage auquel Flaubert s’identifie), Marianne, une jeune voisine solitaire et secrète que Pierre connaît depuis fort longtemps, et cette campagne immuable du centre de la France, si chère à George Sand, avec ses fermes, ses marchés, ses juments. Rien ici ne semble devoir bouger, les liens humains paraissent fossilisés, à jamais scellés, lorsqu’on annonce l’arrivée d’un jeune artiste peintre parisien envoyé par son père en quête d’une épouse. Ce dernier fera bien vite des avances à Marianne mais sa venue n’aura fait que révéler à la jeune femme le fond de son cœur, son amour secret pour Pierre avec qui elle partage depuis si longtemps les mêmes paysages.
Notenn diwar-benn danvez an teul : Marianne est un roman étonnamment simple, presque sans surprise, mais porté par le génie de George Sand, ses éclairs inimitables, son sens du portrait, son goût des fins heureuses au moment où, précisément, le dénouement de sa propre vie approche. Elle nous conduit ici au bout de nos jardins secrets.
Doare an teul : levr faltazi Marianne [testenn voulet] / George Sand, Oberour ; François Tacot, Saver rakskrid, ... . - Magnard, 2009 . - 142 p. - (Classiques & contemporains; 105) .
ISBN : 978-2-210-75534-5 : 3,50 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : « Marianne m’a profondément ému et deux ou trois fois j’ai pleuré. Je me suis reconnu dans le personnage de Pierre. Certaines pages me semblaient des fragments de mes mémoires si j’avais le talent de les écrire de cette manière ! Comme tout cela est charmant, poétique et vrai !... Marianne m’a littéralement enchanté. Les Anglais sont de mon avis car dans le dernier numéro de l’Athenœum on vous a fait un très bel article. Saviez-vous cela ? Ainsi donc pour cette fois je vous admire pleinement et sans la moindre réserve. »
C’est ainsi que Flaubert faisait part à George Sand de tout son enthousiasme après avoir lu Marianne. Ce roman court, que l’on pourrait rapprocher, par la taille, de « La Mare au diable » est incontestablement aujourd’hui un chef-d’œuvre méconnu. Pas une réédition depuis 1877. Et pourtant ! Dernier roman achevé par George Sand, quelques mois seulement avant sa mort, alors qu’elle approchait de son soixante-douzième anniversaire, Marianne, par sa concision même, semble le concentré de toute une œuvre – prolifique – voire de toute une vie. Comme Stendhal, George Sand aurait pu écrire : « L’amour a toujours été pour moi la plus grande des affaires, ou plutôt la seule. » Et ici, pas de superflu, quelques personnages seulement au centre de la scène, Pierre, un quadragénaire timide revenu vivre auprès de sa mère après de multiples aventures peu fructueuses, (c’est le personnage auquel Flaubert s’identifie), Marianne, une jeune voisine solitaire et secrète que Pierre connaît depuis fort longtemps, et cette campagne immuable du centre de la France, si chère à George Sand, avec ses fermes, ses marchés, ses juments. Rien ici ne semble devoir bouger, les liens humains paraissent fossilisés, à jamais scellés, lorsqu’on annonce l’arrivée d’un jeune artiste peintre parisien envoyé par son père en quête d’une épouse. Ce dernier fera bien vite des avances à Marianne mais sa venue n’aura fait que révéler à la jeune femme le fond de son cœur, son amour secret pour Pierre avec qui elle partage depuis si longtemps les mêmes paysages.
Notenn diwar-benn danvez an teul : Marianne est un roman étonnamment simple, presque sans surprise, mais porté par le génie de George Sand, ses éclairs inimitables, son sens du portrait, son goût des fins heureuses au moment où, précisément, le dénouement de sa propre vie approche. Elle nous conduit ici au bout de nos jardins secrets.
Doare an teul : levr faltazi Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem LG SAN lennegezh Ar Releg-Kerhuon 201207 E stad vat
Vaklennegezh c'hlasel Mattea / George Sand / Averbode (2007)
Titl : Mattea Doare an teul : testenn voulet Oberourien : George Sand, Oberour Embanner : Averbode, 2007 Niver a bajennoù : 78 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-90-317-2562-5 Priz : 7€ Notenn hollek : (dastumad 7 en poche, niv 24) Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Au début du dix-neuvième siècle, la jolie Mattea a quatorze ans et probablement tous les hommes de Venise à ses pieds. Promise en marriage à un cousin dont elle n'a que faire, prise entre les violentes crises de sa mère et les transactions commerciales de son père, la belle annonce fièrement qu'elle a "disposé de son coeur". Pressée par ses géniteurs de révéler qui est l'heureux élu, elle leur annonce, à leur grand dam, qu'il s'agit du Turc Abul-Amet.
(4re golo)Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : karantez Mattea [testenn voulet] / George Sand, Oberour . - Averbode, 2007 . - 78 p.
ISBN : 978-90-317-2562-5 : 7€
(dastumad 7 en poche, niv 24)
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Au début du dix-neuvième siècle, la jolie Mattea a quatorze ans et probablement tous les hommes de Venise à ses pieds. Promise en marriage à un cousin dont elle n'a que faire, prise entre les violentes crises de sa mère et les transactions commerciales de son père, la belle annonce fièrement qu'elle a "disposé de son coeur". Pressée par ses géniteurs de révéler qui est l'heureux élu, elle leur annonce, à leur grand dam, qu'il s'agit du Turc Abul-Amet.
(4re golo)Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : karantez Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG SAN lennegezh Gwened 104335 E stad vat
Vak La petite Fadette / George Sand / Maxi-Livres (1995)
PermalinkLa petite Fadette / George Sand / Lito (Éditions) (1993)
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