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Oberour Mona Ozouf |
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Composition française / Mona Ozouf / Gallimard (2009)
Titl : Composition française : Retour sur une enfance bretonne Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Mona Ozouf, Oberour Embanner : Gallimard, 2009 Niver a bajennoù : 258 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-012464-0 Priz : 17,50 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Yann Sohier bugaleaj skoliad skol laik emsav relijion Diverradenn : La France a toujours vécu d'une tension entre l'esprit national et le génie des pays qui la composent, entre l'universel et le particulier. Mona Ozouf se souvient l'avoir ressentie et intériorisée au cours d'une enfance bretonne. Dans un territoire exigu et clos, entre école, église et maison, il fallait vivre avec trois lots de croyances disparates, souvent antagonistes. À la maison, tout parlait de l'appartenance à la Bretagne. L'école, elle, au nom de l'universelle patrie des droits de l'homme, professait l'indifférence aux identités locales. Quant à l'église, la foi qu'elle enseignait contredisait celle de l'école comme celle de la maison.. En faisant revivre ces croyances désaccordées, Mona Ozouf retrouve des questions qui n'ont rien perdu de leur acuité. Pourquoi la France s'est-elle montrée aussi rétive à accepter une pluralité toujours ressentie comme une menace ? Faut-il nécessairement opposer un républicanisme passionnément attaché à l'universel et des particularismes invariablement jugés rétrogrades ? À quelles conditions combiner les attachements particuliers et l'exigence de l'universel ? En d'autres termes, comment vivre heureusement la « composition française » ? Composition française : Retour sur une enfance bretonne [testenn voulet] / Mona Ozouf, Oberour . - Gallimard, 2009 . - 258 p.
ISBN : 978-2-07-012464-0 : 17,50 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Yann Sohier bugaleaj skoliad skol laik emsav relijion Diverradenn : La France a toujours vécu d'une tension entre l'esprit national et le génie des pays qui la composent, entre l'universel et le particulier. Mona Ozouf se souvient l'avoir ressentie et intériorisée au cours d'une enfance bretonne. Dans un territoire exigu et clos, entre école, église et maison, il fallait vivre avec trois lots de croyances disparates, souvent antagonistes. À la maison, tout parlait de l'appartenance à la Bretagne. L'école, elle, au nom de l'universelle patrie des droits de l'homme, professait l'indifférence aux identités locales. Quant à l'église, la foi qu'elle enseignait contredisait celle de l'école comme celle de la maison.. En faisant revivre ces croyances désaccordées, Mona Ozouf retrouve des questions qui n'ont rien perdu de leur acuité. Pourquoi la France s'est-elle montrée aussi rétive à accepter une pluralité toujours ressentie comme une menace ? Faut-il nécessairement opposer un républicanisme passionnément attaché à l'universel et des particularismes invariablement jugés rétrogrades ? À quelles conditions combiner les attachements particuliers et l'exigence de l'universel ? En d'autres termes, comment vivre heureusement la « composition française » ? Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem LG OZO lennegezh Ar Releg-Kerhuon 201072 E stad vat
Vaka bep seurt La plus belle histoire de l'amour / Dominique Simonnet / Seuil (2007)
Titl : La plus belle histoire de l'amour Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Dominique Simonnet, Oberour ; Jean Courtin, Oberour ; Paul Veyne, Oberour ; Jacques Le Goff, Oberour ; Jacques Solé, Oberour ; Mona Ozouf, Oberour ; Alain Corbin, Oberour ; Anne-Marie Sohn, Oberour ; Pascal Bruckner, Oberour ; Alice Ferney, Oberour Embanner : Seuil, 2007 Dastumad : Points Isdastumad : La plus belle histoire num. 1790 Niver a bajennoù : 187 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-0615-9 Priz : 5,50 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Karentez Diverradenn : Il n'y a pas que des histoires d'amour. Il y a aussi une Histoire de l'amour. Comment aimait-on jadis en Occident ? Comment vivait-on vraiment sa sexualité ? Comment conciliait-on la procréation, le sentiment, le désir ? De l'âge paléolithique à nos jours, c'est la surprenante évolution de la vie intime que retracent, pour la première fois dans sa continuité, historiens et écrivains. Séductions, passions, érotisme, infidélités... On le verra, on n'a jamais badiné avec l'amour, et le sexe n'a pas toujours été une partie de plaisir, loin de là. Cette surprenante comédie humaine, qui fait tomber nombre d'idées reçues, se joue en trois actes : le mariage, d'abord ; le sentiment, aussi ; le plaisir, enfin. Elle raconte la longue marche des femmes (et des hommes, un peu derrière) pour se débarrasser du carcan religieux et social, et revendiquer ce droit élémentaire : le droit d'aimer. Aujourd'hui encore, nous puisons sans le savoir dans de vieilles morales, d'anciens tabous, des aspirations cachées. Il n'est peut-être pas plus facile d'aimer dans la liberté que dans la contrainte. Oui, l'amour a une histoire, et nous en sommes toujours les héritiers. Doare an teul : skrid-arnod La plus belle histoire de l'amour [testenn voulet] / Dominique Simonnet, Oberour ; Jean Courtin, Oberour ; Paul Veyne, Oberour ; Jacques Le Goff, Oberour ; Jacques Solé, Oberour ; Mona Ozouf, Oberour ; Alain Corbin, Oberour ; Anne-Marie Sohn, Oberour ; Pascal Bruckner, Oberour ; Alice Ferney, Oberour . - Seuil, 2007 . - 187 p. - (Points. La plus belle histoire; 1790) .
ISBN : 978-2-7578-0615-9 : 5,50 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Karentez Diverradenn : Il n'y a pas que des histoires d'amour. Il y a aussi une Histoire de l'amour. Comment aimait-on jadis en Occident ? Comment vivait-on vraiment sa sexualité ? Comment conciliait-on la procréation, le sentiment, le désir ? De l'âge paléolithique à nos jours, c'est la surprenante évolution de la vie intime que retracent, pour la première fois dans sa continuité, historiens et écrivains. Séductions, passions, érotisme, infidélités... On le verra, on n'a jamais badiné avec l'amour, et le sexe n'a pas toujours été une partie de plaisir, loin de là. Cette surprenante comédie humaine, qui fait tomber nombre d'idées reçues, se joue en trois actes : le mariage, d'abord ; le sentiment, aussi ; le plaisir, enfin. Elle raconte la longue marche des femmes (et des hommes, un peu derrière) pour se débarrasser du carcan religieux et social, et revendiquer ce droit élémentaire : le droit d'aimer. Aujourd'hui encore, nous puisons sans le savoir dans de vieilles morales, d'anciens tabous, des aspirations cachées. Il n'est peut-être pas plus facile d'aimer dans la liberté que dans la contrainte. Oui, l'amour a une histoire, et nous en sommes toujours les héritiers. Doare an teul : skrid-arnod Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 306 LAP teul-titouriñ Karaez 502286 E stad vat
Vak Varennes / Mona Ozouf / Gallimard (2005)
Titl : Varennes : La mort de la royauté ; 21 juin 1791 Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Mona Ozouf, Oberour Embanner : Gallimard, 2005 Dastumad : Nrf Niver a bajennoù : 433 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-077169-1 Priz : 24 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : L'équipée de Varennes ne figure pas dans le canon des «journées révolutionnaires» : ni foules anonymes en fureur, ni sang versé, ni exploits individuels, ni vaincus. À Varennes, un roi s'en est venu, un roi s'en est allé, avant de retrouver une capitale sans voix et une Assemblée nationale appliquée à gommer la portée de l'événement. Autant dire une journée blanche. Et pourtant, ce voyage apparemment sans conséquence fait basculer l'histoire révolutionnaire : il éteint dans les esprits et les cœurs l'image paternelle longtemps incarnée par Louis XVI ; met en scène le divorce entre la royauté et la nation ; ouvre inopinément un espace inédit à l'idée républicaine ; et, pour finir, projette la Révolution française dans l'inconnu. Le livre de Mona Ozouf reconstitue cette histoire à la fois énigmatique et rebattue. Il en éclaire les zones obscures, pénètre les intentions des acteurs et observe le démenti que leur inflige la fatalité ; avant d'interroger les lendemains politiques d'une crise qui contraint les révolutionnaires à «réviser» la Révolution. Réapparaissent ainsi des questions aujourd'hui encore irrésolues : y a-t-il une politique distincte du roi et de la reine ? Peut-on faire de Varennes l'origine de la Terreur ? Quelle figure de république voit-on se dessiner dans le chaos des passions du jour ? Ce moment tourmenté, écrit l'auteur, ouvre une vraie fracture dans l'histoire de France. Il allonge déjà sur le théâtre national l'ombre tragique de l'échafaud. Dix-huit mois avant la mort de Louis XVI, Varennes consomme l'extinction de la royauté. Doare an teul : teul-titouriñ Varennes : La mort de la royauté ; 21 juin 1791 [testenn voulet] / Mona Ozouf, Oberour . - Gallimard, 2005 . - 433 p.. - (Nrf) .
ISBN : 978-2-07-077169-1 : 24 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : L'équipée de Varennes ne figure pas dans le canon des «journées révolutionnaires» : ni foules anonymes en fureur, ni sang versé, ni exploits individuels, ni vaincus. À Varennes, un roi s'en est venu, un roi s'en est allé, avant de retrouver une capitale sans voix et une Assemblée nationale appliquée à gommer la portée de l'événement. Autant dire une journée blanche. Et pourtant, ce voyage apparemment sans conséquence fait basculer l'histoire révolutionnaire : il éteint dans les esprits et les cœurs l'image paternelle longtemps incarnée par Louis XVI ; met en scène le divorce entre la royauté et la nation ; ouvre inopinément un espace inédit à l'idée républicaine ; et, pour finir, projette la Révolution française dans l'inconnu. Le livre de Mona Ozouf reconstitue cette histoire à la fois énigmatique et rebattue. Il en éclaire les zones obscures, pénètre les intentions des acteurs et observe le démenti que leur inflige la fatalité ; avant d'interroger les lendemains politiques d'une crise qui contraint les révolutionnaires à «réviser» la Révolution. Réapparaissent ainsi des questions aujourd'hui encore irrésolues : y a-t-il une politique distincte du roi et de la reine ? Peut-on faire de Varennes l'origine de la Terreur ? Quelle figure de république voit-on se dessiner dans le chaos des passions du jour ? Ce moment tourmenté, écrit l'auteur, ouvre une vraie fracture dans l'histoire de France. Il allonge déjà sur le théâtre national l'ombre tragique de l'échafaud. Dix-huit mois avant la mort de Louis XVI, Varennes consomme l'extinction de la royauté. Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 944 OZO teul-titouriñ Karaez 502502 E stad vat
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