Diwar-benn un dastumad
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Teulioù vak en dastumad (3)
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Les bienheureux de la désolation / Hervé Bazin / Seuil (1970)
Titl : Les bienheureux de la désolation : roman Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Hervé Bazin, Oberour Embanner : Seuil, 1970 Dastumad : Le Livre de poche Niver a bajennoù : 315 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-00354-0 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitrants, lorsqu'en 1961 une réuption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société : comme allaient le dire cinq and plus tard en France les contestataires de mai 1968.
Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une anture hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. (tennet diouzh Amazon.fr)Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Les bienheureux de la désolation : roman [testenn voulet] / Hervé Bazin, Oberour . - Seuil, 1970 . - 315 p. - (Le Livre de poche) .
ISBN : 978-2-253-00354-0
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Tristan da Cunha, surnommée l'île de La Désolation, offrait au milieu des tempêtes de l'Atlantique sud une vie rude, très primitive, à ses 264 habitrants, lorsqu'en 1961 une réuption volcanique contraignit ceux-ci à se réfugier en Angleterre, où ils découvrirent à la fois les merveilles et les méfaits de la civilisation. Dès 1963, n'y pouvant tenir, ils regagnaient leur village ravagé, sous le cratère encore fumant. On put écrire alors que grand-père disait non à notre société : comme allaient le dire cinq and plus tard en France les contestataires de mai 1968.
Très vite pourtant les Tristans se ravisèrent. L'île est aujourd'hui entièrement modernisée. Mais elle l'est dans un esprit très particulier. S'ils ont accepté de la technique ce qui permet de mater une anture hostile, les insulaires refusent de se laisser dominer par elle. Ils demeurent fidèles à leur communauté qu'aèrent, avec le vent et l'aventure à domicile, une liberté, une égalité, un type de vie où l'entraide chasse la compétition, comme le nécessaire chasse le superflu. (tennet diouzh Amazon.fr)Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG BAZ lennegezh Gwened 800092 E stad vat
Vak L'église verte / Hervé Bazin / Seuil (1981)
Titl : L'église verte Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Hervé Bazin, Oberour Embanner : Seuil, 1981 Dastumad : Le Livre de poche num. 58 Niver a bajennoù : 250 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-03120-8 Priz : 3.58 € Diverradenn : Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel.
Il semble avoir vécu un certain temps caché au cur de la forêt, cette "église verte ", ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables.... Ou eux-mêmes.
Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature - dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète - L'Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu'est-ce qu'un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?
(4re golo)Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant L'église verte [testenn voulet] / Hervé Bazin, Oberour . - Seuil, 1981 . - 250 p. - (Le Livre de poche; 58) .
ISBN : 978-2-253-03120-8 : 3.58 €
Diverradenn : Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel.
Il semble avoir vécu un certain temps caché au cur de la forêt, cette "église verte ", ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables.... Ou eux-mêmes.
Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature - dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète - L'Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu'est-ce qu'un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?
(4re golo)Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Da vezañ miret
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Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem RG BAZ lennegezh Gwened 106748 E stad vat
Vak Montserrat / Emmanuel Roblès / Seuil (1999)
Titl : Montserrat Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Emmanuel Roblès (1914-1995), Oberour Embanner : Seuil, 1999 Dastumad : Le Livre de poche num. 2570 Niver a bajennoù : 158 p ISBN/ISSN/EAN : 2-253-00353-0 Priz : 3,50 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Juillet 1812. Le chef vénézuélien Francisco Miranda est vaincu et capturé par le capitaine général espagnol Monteverde. Simon Bolivar, lieutenant de Miranda, est en fuite. Caché par des patriotes, il a pu, jusqu'ici, échapper aux recherches. Les Espagnols occupent les trois quarts du pays. La répression est terrible. Massacres et pillages se succèdent. Depuis sa création en 1948, cette pièce, dont Albert Camus disait : «Elle ne doit rien à aucune école ou à aucune mode et pourtant elle s'accorde à la terrible cruauté du temps sans cesser de se référer à une pitié vieille comme le coeur humain», n'a jamais cessé d'être jouée dans quelque partie du monde. Elle a été adaptée en plus de vingt langues. Doare an teul : levr faltazi Montserrat [testenn voulet] / Emmanuel Roblès (1914-1995), Oberour . - Seuil, 1999 . - 158 p. - (Le Livre de poche; 2570) .
ISBN : 2-253-00353-0 : 3,50 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Juillet 1812. Le chef vénézuélien Francisco Miranda est vaincu et capturé par le capitaine général espagnol Monteverde. Simon Bolivar, lieutenant de Miranda, est en fuite. Caché par des patriotes, il a pu, jusqu'ici, échapper aux recherches. Les Espagnols occupent les trois quarts du pays. La répression est terrible. Massacres et pillages se succèdent. Depuis sa création en 1948, cette pièce, dont Albert Camus disait : «Elle ne doit rien à aucune école ou à aucune mode et pourtant elle s'accorde à la terrible cruauté du temps sans cesser de se référer à une pitié vieille comme le coeur humain», n'a jamais cessé d'être jouée dans quelque partie du monde. Elle a été adaptée en plus de vingt langues. Doare an teul : levr faltazi Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (4)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem LG ROB lennegezh Gwiseni 400932 E stad vat
VakPG ROB lennegezh Karaez 503623 E stad vat
VakPG ROB lennegezh Karaez 504196 E stad vat
VakPG ROB lennegezh Kemper 300622 E stad vat
Vak