Titl : |
Le sang du Mississippi : O'boys |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Philippe Thirault, Oberour ; Steve Cuzor, Oberour |
Embanner : |
Dargaud, 2009 |
Niver a bajennoù : |
65 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-205-05932-8 |
Priz : |
13.50 € |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
Mississipi, 1931. L’un est blanc, l’autre noir. Le premier s’appelle Huck Finn, le second Charley Williams. Huck vit avec son frère sous la férule de leur père, alcoolique et trafiquant minable. Il adore traîner dans les « juke-joints », ces sortes d’épiceries transformées en cabaret le soir, où les Noirs viennent chanter leur blues. C’est là que Charley travaille dur pour Mortimer Denis, un éleveur de poissons-chats chez qui Huck finit par être placé.
Une bande dessinée inspirée mais non adaptée du roman de Mark Twain. La nuance est de taille pour Philippe Thirault et Steve Cuzor qui assument pleinement leurs références pour mieux s’en émanciper. Les auteurs ont imaginé un univers réaliste bien plaisant : celui d’un état du sud de des États-Unis au lendemain de la crise de 1929 encore affligé par les préjugés racistes.
Là on l’on pourrait craindre le déjà vu, les auteurs nous surprennent et nous tiennent en haleine tout au long de ces 64 pages. Les textes, très bien écrits, s’épanouissent dans ce scénario riche, documenté et plutôt bien ficelé.
Le blues s’invite au cœur de cette chronique sociale agréablement mis en scène par Steve Cukor aidé à la couleur par Meephe Versaevel.
La route empruntée par le jeune Huck est encore longue puisqu’il ne reviendra de son périple que quatre ans plus tard, nous indique la première planche de cet album. L’histoire annoncée est prévue pour être une trilogie. Nous ne devrions pas être déçu à l’arrivée.
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Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
bannenn-dreset |
Le sang du Mississippi : O'boys [testenn voulet] / Philippe Thirault, Oberour ; Steve Cuzor, Oberour . - Dargaud, 2009 . - 65 p. ISBN : 978-2-205-05932-8 : 13.50 € Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
Mississipi, 1931. L’un est blanc, l’autre noir. Le premier s’appelle Huck Finn, le second Charley Williams. Huck vit avec son frère sous la férule de leur père, alcoolique et trafiquant minable. Il adore traîner dans les « juke-joints », ces sortes d’épiceries transformées en cabaret le soir, où les Noirs viennent chanter leur blues. C’est là que Charley travaille dur pour Mortimer Denis, un éleveur de poissons-chats chez qui Huck finit par être placé.
Une bande dessinée inspirée mais non adaptée du roman de Mark Twain. La nuance est de taille pour Philippe Thirault et Steve Cuzor qui assument pleinement leurs références pour mieux s’en émanciper. Les auteurs ont imaginé un univers réaliste bien plaisant : celui d’un état du sud de des États-Unis au lendemain de la crise de 1929 encore affligé par les préjugés racistes.
Là on l’on pourrait craindre le déjà vu, les auteurs nous surprennent et nous tiennent en haleine tout au long de ces 64 pages. Les textes, très bien écrits, s’épanouissent dans ce scénario riche, documenté et plutôt bien ficelé.
Le blues s’invite au cœur de cette chronique sociale agréablement mis en scène par Steve Cukor aidé à la couleur par Meephe Versaevel.
La route empruntée par le jeune Huck est encore longue puisqu’il ne reviendra de son périple que quatre ans plus tard, nous indique la première planche de cet album. L’histoire annoncée est prévue pour être une trilogie. Nous ne devrions pas être déçu à l’arrivée.
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Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
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