Titl : |
Attention... je mords ! |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Mathis, Oberour |
Embanner : |
Thierry Magnier, 2009 |
Dastumad : |
Petite Poche |
Niver a bajennoù : |
45 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84420-732-6 |
Priz : |
5 € |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
Fou de rage, René a frappé Lucas et Lucien sans raison apparente. Son grand-père intervient pour apaiser René et comprendre les raisons de cette violence soudaine. René est né le jour anniversaire de la mort d’un frère aîné, alors on fête son anniversaire une semaine avant. La maîtresse, sans savoir le fin mot de l’histoire, demande la raison de ce décalage, et René, submergé par l’émotion, fond en larmes. Lucas et Lucien en profitent pour se moquer du pleurnicheur, déclenchant alors une crise de rage. Pourtant la maîtresse comprend bien son chagrin, puisque, elle aussi, a perdu un frère autrefois, frère qui lui manque encore.
Mathis abandonne un peu son humour décalé, pour raconter avec subtilité et sensibilité un deuil d’enfant, porté par le frère suivant qui ne l’a pas connu. Cette histoire même si elle est triste est aussi rassérénante. René découvre avec son institutrice qu’un deuil peut devenir douceur, qu’y penser souvent et longtemps ne fait pas mal. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Attention... je mords ! [testenn voulet] / Mathis, Oberour . - Thierry Magnier, 2009 . - 45 p. - ( Petite Poche) . ISBN : 978-2-84420-732-6 : 5 € Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
Fou de rage, René a frappé Lucas et Lucien sans raison apparente. Son grand-père intervient pour apaiser René et comprendre les raisons de cette violence soudaine. René est né le jour anniversaire de la mort d’un frère aîné, alors on fête son anniversaire une semaine avant. La maîtresse, sans savoir le fin mot de l’histoire, demande la raison de ce décalage, et René, submergé par l’émotion, fond en larmes. Lucas et Lucien en profitent pour se moquer du pleurnicheur, déclenchant alors une crise de rage. Pourtant la maîtresse comprend bien son chagrin, puisque, elle aussi, a perdu un frère autrefois, frère qui lui manque encore.
Mathis abandonne un peu son humour décalé, pour raconter avec subtilité et sensibilité un deuil d’enfant, porté par le frère suivant qui ne l’a pas connu. Cette histoire même si elle est triste est aussi rassérénante. René découvre avec son institutrice qu’un deuil peut devenir douceur, qu’y penser souvent et longtemps ne fait pas mal. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
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