| Titl : |
Juste après dresseuse d'ours : Les histoires brutes et non romancées d'une jeune généraliste |
| Doare an teul : |
testenn voulet |
| Oberourien : |
Jaddo, Oberour |
| Embanner : |
Fleuve noir, 2011 |
| Dastumad : |
Docs |
| Niver a bajennoù : |
292 p |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-265-09431-4 |
| Priz : |
14,90 € |
| Yezh : |
Galleg (fre) |
| Gerioù-al'hwez : |
Medisinerezh |
| Diverradenn : |
Petite, je voulais faire dresseuse d'ours.
Et puis ça m'a passé et j'ai fait docteur. Généraliste remplaçante.
Mais quand même, depuis douze ans (entre la fac, l'hôpital et le cabinet), j'ai eu le temps de voir un paquet de choses absurdes, terrifiantes, émouvantes, révoltantes, rigolotes. J'ai eu le temps de dire un paquet de conneries, et d'en faire quelques-unes. J'ai eu le temps de mettre de côté un paquet d'histoires à raconter.
J'ai eu envie de les écrire, d'abord pour ne pas oublier ce qui me scandalisait à l'époque de l'hôpital, pour ne pas me laisser aller à m'habituer. Et aussi pour vomir ma frousse de me voir parfois si impuissante. Puis pour partager les rencontres, les fragments de victoires, les bouts de vie savourés. Ces histoires, je les livre brutes, dans le désordre, comme je les ai vécues et comme elles me reviennent.
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| Doare an teul : |
teul-titouriñ |
Juste après dresseuse d'ours : Les histoires brutes et non romancées d'une jeune généraliste [testenn voulet] / Jaddo, Oberour . - Fleuve noir, 2011 . - 292 p. - ( Docs) . ISBN : 978-2-265-09431-4 : 14,90 € Yezh : Galleg ( fre)
| Gerioù-al'hwez : |
Medisinerezh |
| Diverradenn : |
Petite, je voulais faire dresseuse d'ours.
Et puis ça m'a passé et j'ai fait docteur. Généraliste remplaçante.
Mais quand même, depuis douze ans (entre la fac, l'hôpital et le cabinet), j'ai eu le temps de voir un paquet de choses absurdes, terrifiantes, émouvantes, révoltantes, rigolotes. J'ai eu le temps de dire un paquet de conneries, et d'en faire quelques-unes. J'ai eu le temps de mettre de côté un paquet d'histoires à raconter.
J'ai eu envie de les écrire, d'abord pour ne pas oublier ce qui me scandalisait à l'époque de l'hôpital, pour ne pas me laisser aller à m'habituer. Et aussi pour vomir ma frousse de me voir parfois si impuissante. Puis pour partager les rencontres, les fragments de victoires, les bouts de vie savourés. Ces histoires, je les livre brutes, dans le désordre, comme je les ai vécues et comme elles me reviennent.
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| Doare an teul : |
teul-titouriñ |
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