Titl : |
Heq : le chant pour celui qui désire vivre |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Jørn Riel, Oberour ; Benjamin Flao, Illustrateur ; Inès Jorgensen, Troer |
Embanner : |
Sarbacane, 2012 |
Niver a bajennoù : |
62 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84865-558-1 |
Priz : |
19,90 € |
Notenn hollek : |
C’était il y a mille ans. A peine entrée dans l’âge adulte, Shanuq l’inuit fut enlevée par les indiens des forêts, ceux que l’on appelait les Hommes-Chiens. Mariée de force au chef Shapokkee, elle lui donna un enfant qu’elle prénomma Heq, comme son grand-père maternel. Fuyant les indiens avec son fils accroché sur le dos, Shanuq fut recueillie par des chasseurs venus de la côte. Elle trouva rapidement sa place dans la communauté. Par la suite, elle eut deux autres enfants, un garçon qu’elle prénomma Tyakutyik et une fille, Pukiq. Heq se révéla à l’adolescence un leader charismatique aux pouvoirs de chaman. C’est lui qui, après de nombreuses péripéties, mena les siens vers L’inlandsis, le pays de tous les inuits. Une superbe adaptation en album d’un ouvrage paru en poche en 2001 aux éditions 10/18. Il y a d’abord le texte de Jorn Riel. Le lecteur se voit proposer une plongée quasi ethnographique dans le quotidien des tribus ancestrales du Grand Nord. Sous la forme de la fiction, il découvre les mythes et la culture inuit. Le récit mélange aventure, émotion, violence et sauvagerie. Le froid, l’âpreté de la nature, la vie dans des conditions extrêmes, tous ces éléments sont rendus avec force détails et précisions. Une grande place est également occupée par la quête de spiritualité. Il y a ensuite le dessin de Benjamin Flao. Chaque illustration pleine page est un petit tableau. Le travail sur la lumière et les couleurs est remarquable et participe grandement à installer l’ambiance envoutante qui traverse le texte. Pour couronner le tout, il y a l’objet-livre lui-même. Du très grand format (24 x 38 cm) au cartonnage épais et au papier brillant du plus bel effet. Au final, il suffit de se pelotonner au coin du feu et de se laisser embarquer pour les étendues infinies et glacés du Grand Nord canadien. Un voyage inoubliable ! |
Yezh : |
Galleg (fre) Yezh orin : Danois (dan) |
Diverradenn : |
Le Grand Nord canadien, il y a mille ans. Heq, fils d'un vieux chef indien et d'une Inuit capturée dans sa jeunesse par les « Hommes-Chiens », rêve de devenir chaman. Mais cet automne, les troupeaux de caribous ne sont pas au rendez-vous et la faim pousse les Indiens hors de leurs forêts. Le choc avec les Inuits semble inévitable... Entre lutte pour la survie et envies de voyages, Heq cherche sa voie.
(4re golo) |
Notenn diwar-benn danvez an teul : |
De l'ethnographie comme un gai savoir : une somme historique présentant sous forme de fiction les mythes et la culture inuits. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
Heq : le chant pour celui qui désire vivre [testenn voulet] / Jørn Riel, Oberour ; Benjamin Flao, Illustrateur ; Inès Jorgensen, Troer . - Sarbacane, 2012 . - 62 p. ISBN : 978-2-84865-558-1 : 19,90 € C’était il y a mille ans. A peine entrée dans l’âge adulte, Shanuq l’inuit fut enlevée par les indiens des forêts, ceux que l’on appelait les Hommes-Chiens. Mariée de force au chef Shapokkee, elle lui donna un enfant qu’elle prénomma Heq, comme son grand-père maternel. Fuyant les indiens avec son fils accroché sur le dos, Shanuq fut recueillie par des chasseurs venus de la côte. Elle trouva rapidement sa place dans la communauté. Par la suite, elle eut deux autres enfants, un garçon qu’elle prénomma Tyakutyik et une fille, Pukiq. Heq se révéla à l’adolescence un leader charismatique aux pouvoirs de chaman. C’est lui qui, après de nombreuses péripéties, mena les siens vers L’inlandsis, le pays de tous les inuits. Une superbe adaptation en album d’un ouvrage paru en poche en 2001 aux éditions 10/18. Il y a d’abord le texte de Jorn Riel. Le lecteur se voit proposer une plongée quasi ethnographique dans le quotidien des tribus ancestrales du Grand Nord. Sous la forme de la fiction, il découvre les mythes et la culture inuit. Le récit mélange aventure, émotion, violence et sauvagerie. Le froid, l’âpreté de la nature, la vie dans des conditions extrêmes, tous ces éléments sont rendus avec force détails et précisions. Une grande place est également occupée par la quête de spiritualité. Il y a ensuite le dessin de Benjamin Flao. Chaque illustration pleine page est un petit tableau. Le travail sur la lumière et les couleurs est remarquable et participe grandement à installer l’ambiance envoutante qui traverse le texte. Pour couronner le tout, il y a l’objet-livre lui-même. Du très grand format (24 x 38 cm) au cartonnage épais et au papier brillant du plus bel effet. Au final, il suffit de se pelotonner au coin du feu et de se laisser embarquer pour les étendues infinies et glacés du Grand Nord canadien. Un voyage inoubliable ! Yezh : Galleg ( fre) Yezh orin : Danois ( dan)
Diverradenn : |
Le Grand Nord canadien, il y a mille ans. Heq, fils d'un vieux chef indien et d'une Inuit capturée dans sa jeunesse par les « Hommes-Chiens », rêve de devenir chaman. Mais cet automne, les troupeaux de caribous ne sont pas au rendez-vous et la faim pousse les Indiens hors de leurs forêts. Le choc avec les Inuits semble inévitable... Entre lutte pour la survie et envies de voyages, Heq cherche sa voie.
(4re golo) |
Notenn diwar-benn danvez an teul : |
De l'ethnographie comme un gai savoir : une somme historique présentant sous forme de fiction les mythes et la culture inuits. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
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