Titl : |
Chroniques et croquis des villages verrouillés : suivi de Territoire de l'aube ; Poèmes-tracts (bilingues) ; Quelques poèmes d'amour |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Paol Keineg, Oberour ; Yves Rouquette, Saver rakskrid, ... ; Jacqueline Herbert, Addispleger |
Embanner : |
Pierre Jean Oswald, 1973 |
Dastumad : |
L'Aube dissout les montres |
Niver a bajennoù : |
162 p |
Notenn hollek : |
Ur rakskrid. Un dielfennadenn. Un daolenn. |
Yezh : |
Brezhoneg (bre) Galleg (fre) |
Diverradenn : |
"... Keineg est passé au breton. A-t-il trouvé ou retrouvé la langue des paysans analphabètes dans leur langue de l'extrême bout de l'Europe ? Je n'en sais rien. Il l'a prise en main et j'observe que changeant tout à la fois d'outil et de raison sociale, il en finit tout d'un coup avec toute tentation de l'ornemental. Finies les goinfreries, l'ivresse des retours, le magma verbal, magnifique. Le poème se ramasse, se ferme comme un poing. Les mots pèsent d'un poids tel de vérité qu'il n'y a plus besoin d'adjectif, de complément de nom, de relative. Moins de rivières furieuses, moins de ciel en combat, le poème lisible, audible, digeste, fait de mots quotidiens pour dire le quotidien : Madame Couff, C.S.F., Brest, Quimper, Redon, Rennes-Citroën, "un nouvel honneur de vivre." Keineg n'est plus récupérable. Yves Rouquette (4vet pajenn ar golo) |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
barzhoniezh |
Chroniques et croquis des villages verrouillés : suivi de Territoire de l'aube ; Poèmes-tracts (bilingues) ; Quelques poèmes d'amour [testenn voulet] / Paol Keineg, Oberour ; Yves Rouquette, Saver rakskrid, ... ; Jacqueline Herbert, Addispleger . - Pierre Jean Oswald, 1973 . - 162 p. - ( L'Aube dissout les montres) . Ur rakskrid. Un dielfennadenn. Un daolenn. Yezh : Brezhoneg ( bre) Galleg ( fre)
Diverradenn : |
"... Keineg est passé au breton. A-t-il trouvé ou retrouvé la langue des paysans analphabètes dans leur langue de l'extrême bout de l'Europe ? Je n'en sais rien. Il l'a prise en main et j'observe que changeant tout à la fois d'outil et de raison sociale, il en finit tout d'un coup avec toute tentation de l'ornemental. Finies les goinfreries, l'ivresse des retours, le magma verbal, magnifique. Le poème se ramasse, se ferme comme un poing. Les mots pèsent d'un poids tel de vérité qu'il n'y a plus besoin d'adjectif, de complément de nom, de relative. Moins de rivières furieuses, moins de ciel en combat, le poème lisible, audible, digeste, fait de mots quotidiens pour dire le quotidien : Madame Couff, C.S.F., Brest, Quimper, Redon, Rennes-Citroën, "un nouvel honneur de vivre." Keineg n'est plus récupérable. Yves Rouquette (4vet pajenn ar golo) |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
barzhoniezh |
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