Titl an heuliad : |
La grande patience, 3 |
Titl : |
Le coeur des vivants |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Bernard Clavel (1923-2010), Oberour |
Embanner : |
Laffont, 1968 |
Niver a bajennoù : |
336 p |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
1941, en Zone Sud… 1941, l'année des dix-huit ans de Julien Dubois. Comme beaucoup de garçons de son âge, Julien rêve de la France Libre et, en s'engageant dans l'Armée de l'Armistice, c'est Londres qu'il vise à travers Port-Vendres et la frontière espagnole. Mais, avec son ami Carento, il se retrouve à Castres dans un poste de guet de la D.C.A. Et l'amour de Sylvie, son premier grand amour, lui fait tout oublier de ses projets. Il oublierait même la guerre, mais celle-ci le rejoint en novembre 1942 avec l'entrée des Allemands en Zone Sud. Et le voici dans la guerre, face à la mort…
« Je voulais écrire, dit Bernard Clavel, un roman où l'amour tiendrait la plus grande place. Mais les morts de mes vingt ans se sont imposés à moi pour me rappeler que ce temps était celui de la mort bien plus que celui de l'amour ». Et le livre tout entier s'organise autour de ces deux grands thèmes, qui se développent - dans la simplicité de ton et la vérité du récit propres à Clavel - avec une force et une ampleur remarquables. Mais l'on verra que « Le coeur des vivants » est aussi le livre de l'amitié.
Ainsi se poursuit, avec l'histoire de julien Dubois - commencée avec « La maison des autres » et « Celui qui voulait voir la mer » - l'une des entreprises romanesques les plus importantes d'aujourd'hui. (eil pajenn ar golo) |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
La grande patience, 3. Le coeur des vivants [testenn voulet] / Bernard Clavel (1923-2010), Oberour . - Laffont, 1968 . - 336 p. Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
1941, en Zone Sud… 1941, l'année des dix-huit ans de Julien Dubois. Comme beaucoup de garçons de son âge, Julien rêve de la France Libre et, en s'engageant dans l'Armée de l'Armistice, c'est Londres qu'il vise à travers Port-Vendres et la frontière espagnole. Mais, avec son ami Carento, il se retrouve à Castres dans un poste de guet de la D.C.A. Et l'amour de Sylvie, son premier grand amour, lui fait tout oublier de ses projets. Il oublierait même la guerre, mais celle-ci le rejoint en novembre 1942 avec l'entrée des Allemands en Zone Sud. Et le voici dans la guerre, face à la mort…
« Je voulais écrire, dit Bernard Clavel, un roman où l'amour tiendrait la plus grande place. Mais les morts de mes vingt ans se sont imposés à moi pour me rappeler que ce temps était celui de la mort bien plus que celui de l'amour ». Et le livre tout entier s'organise autour de ces deux grands thèmes, qui se développent - dans la simplicité de ton et la vérité du récit propres à Clavel - avec une force et une ampleur remarquables. Mais l'on verra que « Le coeur des vivants » est aussi le livre de l'amitié.
Ainsi se poursuit, avec l'histoire de julien Dubois - commencée avec « La maison des autres » et « Celui qui voulait voir la mer » - l'une des entreprises romanesques les plus importantes d'aujourd'hui. (eil pajenn ar golo) |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
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