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Découvertes Gallimard
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Le Feu / Pascal Richet / Gallimard (2004)
Titl : Le Feu : Aux sources de la civilisation Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Pascal Richet, Oberour Embanner : Gallimard, 2004 Dastumad : Découvertes Gallimard Niver a bajennoù : 159 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-030209-3 Priz : 16 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Tan Sevenadur Diverradenn : Rien n'a davantage marqué la rupture de l'homme avec l'animalité que la possession du feu. Après une lente domestication, commencée il y a environ 500 000 ans, qui lui permit de se défendre contre les bêtes sauvages, de cuire les aliments, de s'éclairer et de se chauffer, vint le temps des premières métamorphoses de la matière - pierres calcaires en chaux, gypse en plâtre, sable en verre -, puis celui des feux de la métallurgie et des forgerons. Et comme rien ne frappe mieux l'imagination que ses flammes, qu'il assure la fécondité des terres, des bêtes et des hommes, qu'il est une source de purification, le feu est devenu dans toutes les civilisations d'Orient et d'Occident un sujet de fêtes et de rites, un objet de culte, le messager des dieux. Du foret à feu de nos ancêtres à la machine à vapeur, du feu de la poudre au moteur à explosion, Pascal Richet retrace l'histoire de la conquête du feu. Et en dévoile les secrets, de l'origine des flammes et des teintes de la chaleur à la vitesse de la combustion. (4re golo) Rumm : teuliad-titouriñ Le Feu : Aux sources de la civilisation [testenn voulet] / Pascal Richet, Oberour . - Gallimard, 2004 . - 159 p.. - (Découvertes Gallimard) .
ISBN : 978-2-07-030209-3 : 16 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Tan Sevenadur Diverradenn : Rien n'a davantage marqué la rupture de l'homme avec l'animalité que la possession du feu. Après une lente domestication, commencée il y a environ 500 000 ans, qui lui permit de se défendre contre les bêtes sauvages, de cuire les aliments, de s'éclairer et de se chauffer, vint le temps des premières métamorphoses de la matière - pierres calcaires en chaux, gypse en plâtre, sable en verre -, puis celui des feux de la métallurgie et des forgerons. Et comme rien ne frappe mieux l'imagination que ses flammes, qu'il assure la fécondité des terres, des bêtes et des hommes, qu'il est une source de purification, le feu est devenu dans toutes les civilisations d'Orient et d'Occident un sujet de fêtes et de rites, un objet de culte, le messager des dieux. Du foret à feu de nos ancêtres à la machine à vapeur, du feu de la poudre au moteur à explosion, Pascal Richet retrace l'histoire de la conquête du feu. Et en dévoile les secrets, de l'origine des flammes et des teintes de la chaleur à la vitesse de la combustion. (4re golo) Rumm : teuliad-titouriñ Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 600 RIC lennegezh Gwened 107048 Vak La fin des colonies françaises / Bernard Droz / Gallimard (2009)
Titl : La fin des colonies françaises Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Bernard Droz, Oberour Embanner : Gallimard, 2009 Dastumad : Découvertes Gallimard Niver a bajennoù : 159 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-035999-8 Priz : 14,50 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : didrevadenniñ Diverradenn : Evénement majeur de l'histoire contemporaine, la décolonisation s'est emparée de la France presque par inadvertance.
Celle-ci, en effet, était mal préparée à la perte de son empire, par tradition jacobine et par attachement sentimental. En 1944, la conférence de Brazzaville a sans doute stimulé quelques réformes, mais les velléités d'indépendance ont partout été vigoureusement réprimées. De cette crispation colonialiste découle le traumatisme d'une séparation encadrée par les guerres d'Indochine et d'Algérie, et ponctuée de multiples épreuves de force.
Il faut attendre le retour au pouvoir du général de Gaulle en 1958 pour que la France admette enfin le caractère inéluctable de la décolonisation. Bernard Droz décrypte ce long processus, achevé pour l'essentiel en 1962 avec l'indépendance algérienne. Après une longue amnésie, la France a connu, au seuil des années 1980, un retour de mémoire. Aujourd'hui encore, le passé colonial continue d'interpeller la République.Doare an teul : teul-titouriñ La fin des colonies françaises [testenn voulet] / Bernard Droz, Oberour . - Gallimard, 2009 . - 159 p.. - (Découvertes Gallimard) .
ISBN : 978-2-07-035999-8 : 14,50 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : didrevadenniñ Diverradenn : Evénement majeur de l'histoire contemporaine, la décolonisation s'est emparée de la France presque par inadvertance.
Celle-ci, en effet, était mal préparée à la perte de son empire, par tradition jacobine et par attachement sentimental. En 1944, la conférence de Brazzaville a sans doute stimulé quelques réformes, mais les velléités d'indépendance ont partout été vigoureusement réprimées. De cette crispation colonialiste découle le traumatisme d'une séparation encadrée par les guerres d'Indochine et d'Algérie, et ponctuée de multiples épreuves de force.
Il faut attendre le retour au pouvoir du général de Gaulle en 1958 pour que la France admette enfin le caractère inéluctable de la décolonisation. Bernard Droz décrypte ce long processus, achevé pour l'essentiel en 1962 avec l'indépendance algérienne. Après une longue amnésie, la France a connu, au seuil des années 1980, un retour de mémoire. Aujourd'hui encore, le passé colonial continue d'interpeller la République.Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 325.3 DRO teul-titouriñ Karaez 504398 Vak Flaubert : l'homme-plume / Pierre-Marc de Biasi / Gallimard (2002)
Titl : Flaubert : l'homme-plume Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Pierre-Marc de Biasi, Oberour Embanner : Gallimard, 2002 Dastumad : Découvertes Gallimard Niver a bajennoù : 127 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-076315-3 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Il écrivait jusqu'au petit matin, au premier étage de sa maison de Croisset, chaque nuit, avec une telle constance que les mariniers qui remontaient la Seine, de nuit, se servaient de ses fenêtres allumées comme d'un fanal pour naviguer. Persuadé qu'«une œuvre n'a d'importance qu'en vertu de son éternité», et que l'enjeu valait bien le pari d'y consacrer sa vie, Flaubert s'était donné le nom d'«homme-plume». Amours, voyages, recherches, passions, amitiés, révolutions, solitude, toutes les expériences vécues, que révèle son étincelante Correspondance, n'ont convergé que vers un seul but : écrire, donner à la prose française son statut d'œuvre d'art, inventer les formes du roman moderne. «J'écris non pour le lecteur d'aujourd'hui, mais pour tous les lecteurs qui pourront se présenter, tant que la langue vivra» (à George Sand, 4 décembre 1872).
Voici donc Gustave Flaubert, notre contemporain, raconté par Pierre-Marc de Biasi.Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : buhezskrid Flaubert : l'homme-plume [testenn voulet] / Pierre-Marc de Biasi, Oberour . - Gallimard, 2002 . - 127 p.. - (Découvertes Gallimard) .
ISBN : 978-2-07-076315-3
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Il écrivait jusqu'au petit matin, au premier étage de sa maison de Croisset, chaque nuit, avec une telle constance que les mariniers qui remontaient la Seine, de nuit, se servaient de ses fenêtres allumées comme d'un fanal pour naviguer. Persuadé qu'«une œuvre n'a d'importance qu'en vertu de son éternité», et que l'enjeu valait bien le pari d'y consacrer sa vie, Flaubert s'était donné le nom d'«homme-plume». Amours, voyages, recherches, passions, amitiés, révolutions, solitude, toutes les expériences vécues, que révèle son étincelante Correspondance, n'ont convergé que vers un seul but : écrire, donner à la prose française son statut d'œuvre d'art, inventer les formes du roman moderne. «J'écris non pour le lecteur d'aujourd'hui, mais pour tous les lecteurs qui pourront se présenter, tant que la langue vivra» (à George Sand, 4 décembre 1872).
Voici donc Gustave Flaubert, notre contemporain, raconté par Pierre-Marc de Biasi.Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : buhezskrid Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 920 DEB teul-titouriñ Karaez 503777 Vak Frida Kahlo / Christina Burrus / Gallimard (2007)
Titl : Frida Kahlo : "Je peins ma réalité" Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Christina Burrus, Oberour Embanner : Gallimard, 2007 Dastumad : Découvertes Gallimard Niver a bajennoù : 143 p; ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-034593-9 Priz : 15,90 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : «Ma peinture porte en elle le message de la douleur.» Frida Kahlo – née en 1907 près de Mexico – a fait très tôt l'apprentissage de la souffrance : poliomyélite à 6 ans ; terrible accident d'autobus à 18 ans qui lui brise la colonne vertébrale... La jeune et indomptable Frida rencontre Diego Rivera, le grand muraliste, dans un Mexique en pleine effervescence politique et culturelle. Ils formeront un couple légendaire, profondément attaché aux cultures populaires indiennes, soudé jusqu'au bout dans la lutte communiste et dans une ambition artistique qui survivra à toutes les épreuves conjugales. Amie de Léon Trotski, admirée des surréalistes, photographiée par les plus grands, Frida a peint essentiellement des autoportraits, dont Les Deux Frida, La Colonne brisée, et aussi de singulières natures mortes. Christina Burrus retrace le destin exceptionnel de cette artiste dont l'œuvre, mélange de cruauté et d'humour, de candeur et d'insolence, est à l'image de la femme libre, belle et courageuse qui masquait sa souffrance derrière de grands éclats de rire communicatifs. Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : buhezskrid Danvez ar faltaziadenn : arzour Frida Kahlo : "Je peins ma réalité" [testenn voulet] / Christina Burrus, Oberour . - Gallimard, 2007 . - 143 p;. - (Découvertes Gallimard) .
ISBN : 978-2-07-034593-9 : 15,90 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : «Ma peinture porte en elle le message de la douleur.» Frida Kahlo – née en 1907 près de Mexico – a fait très tôt l'apprentissage de la souffrance : poliomyélite à 6 ans ; terrible accident d'autobus à 18 ans qui lui brise la colonne vertébrale... La jeune et indomptable Frida rencontre Diego Rivera, le grand muraliste, dans un Mexique en pleine effervescence politique et culturelle. Ils formeront un couple légendaire, profondément attaché aux cultures populaires indiennes, soudé jusqu'au bout dans la lutte communiste et dans une ambition artistique qui survivra à toutes les épreuves conjugales. Amie de Léon Trotski, admirée des surréalistes, photographiée par les plus grands, Frida a peint essentiellement des autoportraits, dont Les Deux Frida, La Colonne brisée, et aussi de singulières natures mortes. Christina Burrus retrace le destin exceptionnel de cette artiste dont l'œuvre, mélange de cruauté et d'humour, de candeur et d'insolence, est à l'image de la femme libre, belle et courageuse qui masquait sa souffrance derrière de grands éclats de rire communicatifs. Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : buhezskrid Danvez ar faltaziadenn : arzour Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 920 KAH teul-titouriñ Plijidi 005045 Vak Gauguin, "Ce malgré moi de sauvage" / Françoise Cachin / Gallimard (1989)
Titl : Gauguin, "Ce malgré moi de sauvage" Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Françoise Cachin (1936-2011), Oberour Embanner : Gallimard, 1989 Dastumad : Découvertes Gallimard Niver a bajennoù : 196 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-053070-0 Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Livadur Diverradenn : «Ma grand-mère était une drôle de bonne femme. Elle se nommait Flora Tristan...» Voilà pour l'ascendance maternelle. Clovis Gauguin, le père, est journaliste. Il meurt, en route pour le Pérou, en 1849. Paul a un an. Toute son adolescence, il gardera la nostalgie des tropiques. La suite, ce sera une vie de départs perpétuels : Copenhague, Pont-Aven, la Martinique, Arles et, en 1891, le grand départ, pour Tahiti. «Je pars pour être tranquille, pour être débarrassé de l'influence de la civilisation. Je ne veux faire que de l'art simple, très simple.» Ce «sauvage malgré lui» meurt aux îles Marquises, le 8 mai 1903. Doare an teul : teul-titouriñ Gauguin, "Ce malgré moi de sauvage" [testenn voulet] / Françoise Cachin (1936-2011), Oberour . - Gallimard, 1989 . - 196 p.. - (Découvertes Gallimard) .
ISBN : 978-2-07-053070-0
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Livadur Diverradenn : «Ma grand-mère était une drôle de bonne femme. Elle se nommait Flora Tristan...» Voilà pour l'ascendance maternelle. Clovis Gauguin, le père, est journaliste. Il meurt, en route pour le Pérou, en 1849. Paul a un an. Toute son adolescence, il gardera la nostalgie des tropiques. La suite, ce sera une vie de départs perpétuels : Copenhague, Pont-Aven, la Martinique, Arles et, en 1891, le grand départ, pour Tahiti. «Je pars pour être tranquille, pour être débarrassé de l'influence de la civilisation. Je ne veux faire que de l'art simple, très simple.» Ce «sauvage malgré lui» meurt aux îles Marquises, le 8 mai 1903. Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
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Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 709 CAC teul-titouriñ Karaez 502459 Vak George Sand : Un diable de femme / Anne-Marie De Brem / Gallimard (2006)
PermalinkLa Grande Guerre 1914-1918 / Stéphane Audoin-Rouzeau / Gallimard (1998)
PermalinkHistoire du suffrage universel / Michel Offerlé / Gallimard (2002)
PermalinkMatisse, "Une splendeur inouïe" / Xavier Girard / Gallimard (1993)
PermalinkLa mine / Joel Michel / Gallimard (1993)
PermalinkMozart / philippe Autexier / Gallimard (1988)
PermalinkLes Noirs américains / Pap NDiaye / Gallimard (2009)
PermalinkL'Offensive rap / Olivier Cachin / Gallimard (1997)
PermalinkL'Orient des Croisades / Georges Tate / Gallimard (2008)
PermalinkLes phares / Vincent Guigueno / Gallimard (2011)
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