Titl : |
Les Yeux de Rose Andersen |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Xavier-Laurent Petit, Oberour |
Embanner : |
Ecole des Loisirs, 2004 |
Dastumad : |
Médium |
Niver a bajennoù : |
190 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
2-211-07657-2 |
Diverradenn : |
On ne vit pas à Santa Arena, où tout est sec, pauvre, désolé, sans espoir. On survit, et encore. Si on veut vivre, Il faut partir
Là-bas, de l'autre côté de la frontière, la grande ville des étrangers, les ranjeros, brille de tous ses feux. Là-bas, les hommes sont riches, les femmes ont la peau blanche et les yeux verts comme des dollars, et les cinémas racontent des histoires merveilleuses. Ils sont nombreux, ceux qui tentent le passage du cerco. Et rares, ceux qui réussissent. Moins de deux pour cent. Les autres sont abattus par la border patrol, ou bien s'en vont mourir de soif et d'épuisement dans le désert. De toute façon, avant d'espérer partir, il faut gagner mille dollars, le prix d'un passeur, l'équivalent de deux ans de travail à gratter les cuves puantes de la Chemical & Petrological Corporation. Personne n'a encore jamais dit à Adriana qu'elle avait de la chance. Mama Yosefa, la reine du bidonville, lui a juste dit un jour en la regardant dans les yeux : " Toi, tu mérites mieux. " Et Adriana a décidé qu'un jour, elle aussi aurait les yeux verts. Mais ce qui l'attend, de l'autre côté de la frontière, même un film des ranjeros n'aurait pas pu l'imaginer. |
Notenn diwar-benn danvez an teul : |
Pour aborder ce sujet encore et toujours d'actualité, l'auteur a créé des personnages intéressants. Il mêle ainsi les thèmes de la pauvreté et de l'exode à celui de la drogue, mère de tous les vices. La mort rode elle aussi, la séparation, mais aussi la chance, le succès, la lutte pour la vie. Un beau roman écrit dans un style agréable, captivant, vibrant de réalisme. Il ne laisse pas indifférent, malgré une chute un peu facile. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
Live : |
skolaj 6vet |
Les Yeux de Rose Andersen [testenn voulet] / Xavier-Laurent Petit, Oberour . - Ecole des Loisirs, 2004 . - 190 p. - ( Médium) . ISBN : 2-211-07657-2
Diverradenn : |
On ne vit pas à Santa Arena, où tout est sec, pauvre, désolé, sans espoir. On survit, et encore. Si on veut vivre, Il faut partir
Là-bas, de l'autre côté de la frontière, la grande ville des étrangers, les ranjeros, brille de tous ses feux. Là-bas, les hommes sont riches, les femmes ont la peau blanche et les yeux verts comme des dollars, et les cinémas racontent des histoires merveilleuses. Ils sont nombreux, ceux qui tentent le passage du cerco. Et rares, ceux qui réussissent. Moins de deux pour cent. Les autres sont abattus par la border patrol, ou bien s'en vont mourir de soif et d'épuisement dans le désert. De toute façon, avant d'espérer partir, il faut gagner mille dollars, le prix d'un passeur, l'équivalent de deux ans de travail à gratter les cuves puantes de la Chemical & Petrological Corporation. Personne n'a encore jamais dit à Adriana qu'elle avait de la chance. Mama Yosefa, la reine du bidonville, lui a juste dit un jour en la regardant dans les yeux : " Toi, tu mérites mieux. " Et Adriana a décidé qu'un jour, elle aussi aurait les yeux verts. Mais ce qui l'attend, de l'autre côté de la frontière, même un film des ranjeros n'aurait pas pu l'imaginer. |
Notenn diwar-benn danvez an teul : |
Pour aborder ce sujet encore et toujours d'actualité, l'auteur a créé des personnages intéressants. Il mêle ainsi les thèmes de la pauvreté et de l'exode à celui de la drogue, mère de tous les vices. La mort rode elle aussi, la séparation, mais aussi la chance, le succès, la lutte pour la vie. Un beau roman écrit dans un style agréable, captivant, vibrant de réalisme. Il ne laisse pas indifférent, malgré une chute un peu facile. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
Live : |
skolaj 6vet |
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