Titl : |
Une vie bouleversée |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Embanner : |
Seuil, 1988 |
Niver a bajennoù : |
p. 345 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-024628-6 |
Priz : |
7,90€ |
Yezh : |
Galleg (fre) Yezh orin : Néerlandais (dut) |
Diverradenn : |
De 1941 à 1943, à Amsterdam, une jeune femme juive de vingt-sept ans tient un journal. Le résultat : un document extraordinaire, tant par la qualité littéraire que par la foi qui en émane. Une foi indéfectible en l'homme alors qu'il accomplit ses plus noirs méfaits. Partie le 7 septembre 1943 du camp de transit de Westerbork, d'où elle envoie d'admirables lettres à ses amis, Etty Hillesum meurt à Auschwitz le 30 novembre de la même année. |
Notenn diwar-benn danvez an teul : |
Lire ce journal est une grande leçon de vie. Etty Hillesum nous fait part de son quotidien, de ses angoisses, de ses réflexions sur sa vie, sur l'humain. Tout cela à une époque où , en tant que Juive, elle voyait ses libertés se restreindre de jour en jour. Sans jamais se plaindre, en acceptant les contraintes, quasiment dans un amour universel. Se référant toujours à Dieu, se remettant en question chaque jour, en pensant toujours aux autres. Jusqu'à se faire enfermer dans un camp de d'internement, risquant un départ pour Auschwitz, rien que pour aider son prochain. Elle atteint presque l'état de sainteté dans sa dévotion ultime aux autres. S'oubliant totalement. C'est un livre également très riche d'un point de vue philosophique. Les quelques citations que j'en ai relevées démontrent la richesse de son questionnement intérieur. Sa recherche du sens de la vie et l'orientation qu'elle a donné à sa vie sont hors du commun et témoignent d'une immense rigueur morale et intellectuelle. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
buhezskrid |
Danvez ar faltaziadenn : |
feulster/furnez |
Une vie bouleversée [testenn voulet] . - Seuil, 1988 . - p. 345. ISBN : 978-2-02-024628-6 : 7,90€ Yezh : Galleg ( fre) Yezh orin : Néerlandais ( dut)
Diverradenn : |
De 1941 à 1943, à Amsterdam, une jeune femme juive de vingt-sept ans tient un journal. Le résultat : un document extraordinaire, tant par la qualité littéraire que par la foi qui en émane. Une foi indéfectible en l'homme alors qu'il accomplit ses plus noirs méfaits. Partie le 7 septembre 1943 du camp de transit de Westerbork, d'où elle envoie d'admirables lettres à ses amis, Etty Hillesum meurt à Auschwitz le 30 novembre de la même année. |
Notenn diwar-benn danvez an teul : |
Lire ce journal est une grande leçon de vie. Etty Hillesum nous fait part de son quotidien, de ses angoisses, de ses réflexions sur sa vie, sur l'humain. Tout cela à une époque où , en tant que Juive, elle voyait ses libertés se restreindre de jour en jour. Sans jamais se plaindre, en acceptant les contraintes, quasiment dans un amour universel. Se référant toujours à Dieu, se remettant en question chaque jour, en pensant toujours aux autres. Jusqu'à se faire enfermer dans un camp de d'internement, risquant un départ pour Auschwitz, rien que pour aider son prochain. Elle atteint presque l'état de sainteté dans sa dévotion ultime aux autres. S'oubliant totalement. C'est un livre également très riche d'un point de vue philosophique. Les quelques citations que j'en ai relevées démontrent la richesse de son questionnement intérieur. Sa recherche du sens de la vie et l'orientation qu'elle a donné à sa vie sont hors du commun et témoignent d'une immense rigueur morale et intellectuelle. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
buhezskrid |
Danvez ar faltaziadenn : |
feulster/furnez |
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