Titl : |
La guerre de Catherine |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Julia Billet, Oberour |
Embanner : |
Ecole des Loisirs, 2013 |
Dastumad : |
Médium max |
Niver a bajennoù : |
299 p. |
Sk. : |
broché |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-21479-7 |
Priz : |
14,80€ |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
Nous allons changer de nom, et nous devrons tous oublier, le temps de la guerre, ceux qui nous ont été donnés par nos parents.
Rachel s'appelle désormais Catherine, Catherine Colin. Lorsque les lois contre les Juifs se sont intensifiées, ses parents l'ont confiée à la Maison des enfants de Sèvres. Mais bientôt il n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistance organise la fuite des enfants juifs en zone libre. Ils doivent du jour au lendemain quitter l'école, leurs camarades et partir avec des inconnus. Ils ne savent pas comment feront leurs parents pour les retrouver. Ils ne savent même pas si leurs parents sont encore en vie.
Dans sa fuite, Catherine emporte avec elle un Rolleiflex et quelques rouleaux de film. La directrice de la pension qu'elle quitte lui a confié une mission : Fais des photos, collecte des images et rapporte-nous tout cela à la fin de la guerre. Nous en aurons besoin.
Elle va alors photographier les personnes qui l'hébergent et la protègent, les enfants qu'elle croise, ceux avec qui elle partage la peur et la solitude mais aussi la tendresse et les instants de joie : la petite Alice, qui n'a plus de parents et s'accroche à la pensée que son frère l'attend quelque part, Luco, qui n'arrive pas à retenir son nouveau nom.
Catherine a le don de saisir la vérité des enfants et des adultes qu'elle photographie. Elle écrit sa guerre en images sans savoir encore jusqu'où celles-ci la conduiront.
Photographie de couverture : Pingouin, Gisèle et les filles dans l'escalier refait à neuf et bordé de lys de l'entrée ©France Cohen dans «L'album de France» avec l'aimable autorisation de la Maison de Sèvres (www.lamaisondesevres.org)
Julia Billet est née en 1962. Elle habite la région parisienne tout en songeant qu'il ferait bon vivre ailleurs, loin des villes, pour écrire, écrire, écrire, prendre le temps de savourer la vie. En attendant, elle écrit souvent la nuit après son travail de jour : son activité de formation pour adultes l'amène à rencontrer toutes sortes de gens dans des usines, des bureaux, des écoles, des prisons. Elle anime quelquefois des ateliers d'écriture avec des adultes ou des enfants. Dans sa vie, enfin, il y a les livres, ceux qu'elle dévore ou déguste lentement selon les jours et ceux que Kanelle, sa fille, lui conseille. Parfois, toutes les deux écrivent à deux mains, lisent à deux voix et rient aux éclats. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
Danvez ar faltaziadenn : |
adolescence/guerre |
La guerre de Catherine [testenn voulet] / Julia Billet, Oberour . - Ecole des Loisirs, 2013 . - 299 p. : broché. - ( Médium max) . ISBN : 978-2-211-21479-7 : 14,80€ Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
Nous allons changer de nom, et nous devrons tous oublier, le temps de la guerre, ceux qui nous ont été donnés par nos parents.
Rachel s'appelle désormais Catherine, Catherine Colin. Lorsque les lois contre les Juifs se sont intensifiées, ses parents l'ont confiée à la Maison des enfants de Sèvres. Mais bientôt il n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistance organise la fuite des enfants juifs en zone libre. Ils doivent du jour au lendemain quitter l'école, leurs camarades et partir avec des inconnus. Ils ne savent pas comment feront leurs parents pour les retrouver. Ils ne savent même pas si leurs parents sont encore en vie.
Dans sa fuite, Catherine emporte avec elle un Rolleiflex et quelques rouleaux de film. La directrice de la pension qu'elle quitte lui a confié une mission : Fais des photos, collecte des images et rapporte-nous tout cela à la fin de la guerre. Nous en aurons besoin.
Elle va alors photographier les personnes qui l'hébergent et la protègent, les enfants qu'elle croise, ceux avec qui elle partage la peur et la solitude mais aussi la tendresse et les instants de joie : la petite Alice, qui n'a plus de parents et s'accroche à la pensée que son frère l'attend quelque part, Luco, qui n'arrive pas à retenir son nouveau nom.
Catherine a le don de saisir la vérité des enfants et des adultes qu'elle photographie. Elle écrit sa guerre en images sans savoir encore jusqu'où celles-ci la conduiront.
Photographie de couverture : Pingouin, Gisèle et les filles dans l'escalier refait à neuf et bordé de lys de l'entrée ©France Cohen dans «L'album de France» avec l'aimable autorisation de la Maison de Sèvres (www.lamaisondesevres.org)
Julia Billet est née en 1962. Elle habite la région parisienne tout en songeant qu'il ferait bon vivre ailleurs, loin des villes, pour écrire, écrire, écrire, prendre le temps de savourer la vie. En attendant, elle écrit souvent la nuit après son travail de jour : son activité de formation pour adultes l'amène à rencontrer toutes sortes de gens dans des usines, des bureaux, des écoles, des prisons. Elle anime quelquefois des ateliers d'écriture avec des adultes ou des enfants. Dans sa vie, enfin, il y a les livres, ceux qu'elle dévore ou déguste lentement selon les jours et ceux que Kanelle, sa fille, lui conseille. Parfois, toutes les deux écrivent à deux mains, lisent à deux voix et rient aux éclats. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
Danvez ar faltaziadenn : |
adolescence/guerre |
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