Titl : |
Les Justes : Pièce en cinq actes |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Albert Camus (1913-1960), Oberour |
Embanner : |
Gallimard, 1975 |
Dastumad : |
Folio |
Niver a bajennoù : |
152 p |
Priz : |
4,50 € |
Notenn hollek : |
Rak-skrid an aozour |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes, appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organisait un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. Cet attentat et les circonstances singulières qui l’ont précédé et suivi font le sujet des Justes." écrit Camus dans la préface des justes.
Cette pièce en 5 actes démontent tous les clichés révolutionnaires. On imagine sans peine la quantité de vécu que met Camus dans ce genre de dénonciation. Les 3 premiers actes se passent avant l’attentat et l’on voit les différentes sensibilités des révolutionnaires se croiser et se confronter. Les deux derniers actes se passent après et l’on quitte le discours révolutionnaire théorique pour un discours pratique et humaniste.
On mesure dans cette pièce à quel point Camus peut être loin d’un Sartre par exemple ("Tous les non communistes sont des chiens !") et l’on sent son engagement pour la vie et l’humanité.
De plus le personnage féminin des Justes a un rôle très important : sorte d’hégérie socialiste traditionnelle au début elle termine dans une déclaration d’amour folle pour le narrateur...
Enfin on notera cette citation très belle : "La liberté est un bagne aussi longtemps qu’un seul homme est asservi sur la terre" |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
c'hoariva |
Danvez ar faltaziadenn : |
c'hoant/c'hoari |
Les Justes : Pièce en cinq actes [testenn voulet] / Albert Camus (1913-1960), Oberour . - Gallimard, 1975 . - 152 p. - ( Folio) . 4,50 € Rak-skrid an aozour Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes, appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organisait un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. Cet attentat et les circonstances singulières qui l’ont précédé et suivi font le sujet des Justes." écrit Camus dans la préface des justes.
Cette pièce en 5 actes démontent tous les clichés révolutionnaires. On imagine sans peine la quantité de vécu que met Camus dans ce genre de dénonciation. Les 3 premiers actes se passent avant l’attentat et l’on voit les différentes sensibilités des révolutionnaires se croiser et se confronter. Les deux derniers actes se passent après et l’on quitte le discours révolutionnaire théorique pour un discours pratique et humaniste.
On mesure dans cette pièce à quel point Camus peut être loin d’un Sartre par exemple ("Tous les non communistes sont des chiens !") et l’on sent son engagement pour la vie et l’humanité.
De plus le personnage féminin des Justes a un rôle très important : sorte d’hégérie socialiste traditionnelle au début elle termine dans une déclaration d’amour folle pour le narrateur...
Enfin on notera cette citation très belle : "La liberté est un bagne aussi longtemps qu’un seul homme est asservi sur la terre" |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
c'hoariva |
Danvez ar faltaziadenn : |
c'hoant/c'hoari |
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