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					| Titl : | Le Barbier de Séville : comédie |  
					| Doare an teul : | testenn voulet |  
					| Oberourien : | Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799), Oberour |  
					| Embanner : | Larousse, 1934 |  
					| Dastumad : | Classiques Larousse |  
					| Yezh : | Galleg (fre) |  
					| Gerioù-al'hwez : | XVIIIvet kantved |  
					| Diverradenn : | " Un vieillard amoureux prétend épouser demain sa pupille ; un jeune amant plus adroit le prévient, et ce jour même en fait sa femme, à la barbe et dans la maison du tuteur. Voilà le fond, dont on eût pu faire, avec un égal succès, une tragédie, une comédie, un drame, un opéra, et coetera. " C'est ainsi que Beaumarchais lui-même présente Le Barbier de Séville qui en 1775 triomphe rapidement, puis connaît un succès durable : Marie-Antoinette elle-même jouera le rôle de Rosine en 1785 ; deux livrets d'opéra en seront tirés pour Paesiello et Rossini. C'est que fantaisie verbale et puissance dramatique offrent au spectateur une pièce dont l'action reste suspendue à un lien fragile - un mot ou un silence pouvant tout achever ou tout faire échouer - et c'est là le modèle de la comédie des deux siècles à venir.
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					| Rummad al levr : | c'hoariva | 
Le Barbier de Séville : comédie [testenn voulet] / Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799) , Oberour . - Larousse , 1934. - (Classiques Larousse ) .Yezh  : Galleg (fre ) 
					| Gerioù-al'hwez : | XVIIIvet kantved |  
					| Diverradenn : | " Un vieillard amoureux prétend épouser demain sa pupille ; un jeune amant plus adroit le prévient, et ce jour même en fait sa femme, à la barbe et dans la maison du tuteur. Voilà le fond, dont on eût pu faire, avec un égal succès, une tragédie, une comédie, un drame, un opéra, et coetera. " C'est ainsi que Beaumarchais lui-même présente Le Barbier de Séville qui en 1775 triomphe rapidement, puis connaît un succès durable : Marie-Antoinette elle-même jouera le rôle de Rosine en 1785 ; deux livrets d'opéra en seront tirés pour Paesiello et Rossini. C'est que fantaisie verbale et puissance dramatique offrent au spectateur une pièce dont l'action reste suspendue à un lien fragile - un mot ou un silence pouvant tout achever ou tout faire échouer - et c'est là le modèle de la comédie des deux siècles à venir.
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					| Rummad al levr : | c'hoariva | 
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