Titl : |
Regarder la mer |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
Christine Lapostolle, Oberour |
Embanner : |
Melville/Léo Scheer, 2003 |
Niver a bajennoù : |
185 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-915341-01-0 |
Priz : |
18 € |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Diverradenn : |
Une narratrice, du bord de sa solitude, croise, regarde, rencontre les autres : ceux qui sont en vacances, ceux qui, comme elle, vivent là toute l’année. Un ballet, un jeu de société. Ecrire est aussi prendre part à la vie des autres. Le paysage n’est pas un décor. Il agit sur ceux qui le traversent, le regardent. Il y a les lieux, leur force, à quoi se confrontent les personnages, l’humain. Tout est important et dérisoire à la fois. Tout passe. Regarder la mer - c’est dans cet acte, ou ce repos, que peuvent se matérialiser le heurt, les brisures de la vie. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
Regarder la mer [testenn voulet] / Christine Lapostolle, Oberour . - Melville/Léo Scheer, 2003 . - 185 p. ISBN : 978-2-915341-01-0 : 18 € Yezh : Galleg ( fre)
Diverradenn : |
Une narratrice, du bord de sa solitude, croise, regarde, rencontre les autres : ceux qui sont en vacances, ceux qui, comme elle, vivent là toute l’année. Un ballet, un jeu de société. Ecrire est aussi prendre part à la vie des autres. Le paysage n’est pas un décor. Il agit sur ceux qui le traversent, le regardent. Il y a les lieux, leur force, à quoi se confrontent les personnages, l’humain. Tout est important et dérisoire à la fois. Tout passe. Regarder la mer - c’est dans cet acte, ou ce repos, que peuvent se matérialiser le heurt, les brisures de la vie. |
Doare an teul : |
levr faltazi |
Rumm : |
romant |
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