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La bible punk / Christian Eudeline / Didier Carpentier (2013)
Titl : La bible punk : 35 ans de contre-culture musicale Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Christian Eudeline, Oberour Embanner : Didier Carpentier, 2013 Niver a bajennoù : 143 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84167-835-8 Priz : 29,90 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Punk rock Diverradenn : Vous avez dit punk ? Ce livre se propose de retracer toute l’histoire musicale de ce mouvement, des groupes annonciateurs, Velvet Underground et Stooges, de la première vague (Sex Pistols, Clash, Undertones, Ramones ou Métal Urbain…) à la deuxième (Sham 69, Pogues, Exploited, Black Flag, Lords Of The New Church, LSD) jusqu’à aujourd’hui (Green Day, Fugazi, NOFX, Vaccines, Stupeflip), mais également en s’interrogeant sur son impact culturel, avec des entrées sur l’histoire des fanzines ou du look. Au début, le mot punk ne désignait qu’un courant musical, on parlait d’ailleurs plutôt de punk-rock que de punk tout court, mais voilà, l’impact a été si phénoménal que le mot est devenu un adjectif dépassant le seul sujet auquel il se rapportait. Punk désigne désormais volontiers une attitude rebelle et morgue qui s’exprime souvent par un refus des conventions, c’est même devenu l’adjectif idéal pour décrire une personne qui se fait remarquer par son originalité, par exemple sa manière de s’habiller ou sa façon de se comporter en société. En un mot, par sa provocation. Il est également employé pour décrire le travail d’un styliste, d’un cinéaste ou d’un écrivain, parce qu’il refuse d’obéir aux codes généralement admis. Il sous-entend une volonté affirmée, le créateur punk a du caractère, la preuve il ne se laisse imposer aucune règle. Car, en parallèle de ces groupes de musiciens qui enregistraient des disques et donnaient des concerts, est né un personnage à «crête jean déchiré et Dr. Martens aux pieds», qui vit chaque moment de son existence comme si c’était le dernier. Le punk est devenu un cliché, sa coupe de cheveux façon iroquois est arrivée très tardivement lorsque l’on regarde l’histoire du mouvement, mais dans l’imaginaire elle fixe à jamais le genre. On l’emploiera souvent dans la publicité pour faire passer un double message : Notre marque n’est pas ringarde puisqu’elle est au courant de l’actualité musicale ! Notre marque ne ressemble à aucune autre puisqu’elle n’hésite pas à casser les codes ! Jugé comme infréquentable lorsqu’il apparut au milieu des années 70, le punk fait désormais rêver. C’est presque devenu une litote, une pensée que l’on essaye de faire deviner sans la nommer. Si un interlocuteur vous traite de punk, il faut comprendre que vous le surprenez parce que vous ne faites pas comme les autres. C’est donc devenu un compliment. Doare an teul : teul-titouriñ La bible punk : 35 ans de contre-culture musicale [testenn voulet] / Christian Eudeline, Oberour . - Didier Carpentier, 2013 . - 143 p.
ISBN : 978-2-84167-835-8 : 29,90 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Punk rock Diverradenn : Vous avez dit punk ? Ce livre se propose de retracer toute l’histoire musicale de ce mouvement, des groupes annonciateurs, Velvet Underground et Stooges, de la première vague (Sex Pistols, Clash, Undertones, Ramones ou Métal Urbain…) à la deuxième (Sham 69, Pogues, Exploited, Black Flag, Lords Of The New Church, LSD) jusqu’à aujourd’hui (Green Day, Fugazi, NOFX, Vaccines, Stupeflip), mais également en s’interrogeant sur son impact culturel, avec des entrées sur l’histoire des fanzines ou du look. Au début, le mot punk ne désignait qu’un courant musical, on parlait d’ailleurs plutôt de punk-rock que de punk tout court, mais voilà, l’impact a été si phénoménal que le mot est devenu un adjectif dépassant le seul sujet auquel il se rapportait. Punk désigne désormais volontiers une attitude rebelle et morgue qui s’exprime souvent par un refus des conventions, c’est même devenu l’adjectif idéal pour décrire une personne qui se fait remarquer par son originalité, par exemple sa manière de s’habiller ou sa façon de se comporter en société. En un mot, par sa provocation. Il est également employé pour décrire le travail d’un styliste, d’un cinéaste ou d’un écrivain, parce qu’il refuse d’obéir aux codes généralement admis. Il sous-entend une volonté affirmée, le créateur punk a du caractère, la preuve il ne se laisse imposer aucune règle. Car, en parallèle de ces groupes de musiciens qui enregistraient des disques et donnaient des concerts, est né un personnage à «crête jean déchiré et Dr. Martens aux pieds», qui vit chaque moment de son existence comme si c’était le dernier. Le punk est devenu un cliché, sa coupe de cheveux façon iroquois est arrivée très tardivement lorsque l’on regarde l’histoire du mouvement, mais dans l’imaginaire elle fixe à jamais le genre. On l’emploiera souvent dans la publicité pour faire passer un double message : Notre marque n’est pas ringarde puisqu’elle est au courant de l’actualité musicale ! Notre marque ne ressemble à aucune autre puisqu’elle n’hésite pas à casser les codes ! Jugé comme infréquentable lorsqu’il apparut au milieu des années 70, le punk fait désormais rêver. C’est presque devenu une litote, une pensée que l’on essaye de faire deviner sans la nommer. Si un interlocuteur vous traite de punk, il faut comprendre que vous le surprenez parce que vous ne faites pas comme les autres. C’est donc devenu un compliment. Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
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