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Oberour Sebastian Dieguez |
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Maux d'artistes / Sebastian Dieguez / 2010
Titl : Maux d'artistes : Ce que cachent les oeuvres Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Sebastian Dieguez, Oberour Embannet er bloavezh : 2010 Niver a bajennoù : 175 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84245-101-1 Priz : 25 € Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : Ce livre est un recueil des articles que Sebastian Dieguez a publiés dans la rubrique Art et pathologies du magazine Cerveau & Psycho. L'auteur s'interroge sur les liens cachés entre une œuvre d'art - une peinture, une sculpture, une composition musicale ou une œuvre littéraire - et une possible maladie de l'esprit de son auteur. Examinant divers chefs-d'œuvre avec son regard de neuropsychologue, il détecte dans les romans de Dostoïevski les éléments qui trahissent son épilepsie. Il explique pourquoi les tons ocres et orangés des œuvres tardives de Monet indiquent une forte cataracte. Il voit dans les tableaux de De Chirico des analogies avec les perturbations du système visuel associées à certaines migraines. Il observe comment le soi se décompose chez un peintre atteint de la maladie d'Alzheimer, ou encore les troubles de la mémoire chez Proust dus à l'absorption de psychotropes. Pourquoi tenter d'observer des œuvres d'art à l'aune des neurosciences ? Il ne s'agit en aucun cas d'expliquer une œuvre particulière par la maladie de son auteur, et encore moins de réduire l'art à une anomalie neurologique ou psychiatrique, mais de mieux comprendre comment l'art et le cerveau se nourrissent l'un l'autre. Doare an teul : teul-titouriñ Maux d'artistes : Ce que cachent les oeuvres [testenn voulet] / Sebastian Dieguez, Oberour . - 2010 . - 175 p.
ISBN : 978-2-84245-101-1 : 25 €
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : Ce livre est un recueil des articles que Sebastian Dieguez a publiés dans la rubrique Art et pathologies du magazine Cerveau & Psycho. L'auteur s'interroge sur les liens cachés entre une œuvre d'art - une peinture, une sculpture, une composition musicale ou une œuvre littéraire - et une possible maladie de l'esprit de son auteur. Examinant divers chefs-d'œuvre avec son regard de neuropsychologue, il détecte dans les romans de Dostoïevski les éléments qui trahissent son épilepsie. Il explique pourquoi les tons ocres et orangés des œuvres tardives de Monet indiquent une forte cataracte. Il voit dans les tableaux de De Chirico des analogies avec les perturbations du système visuel associées à certaines migraines. Il observe comment le soi se décompose chez un peintre atteint de la maladie d'Alzheimer, ou encore les troubles de la mémoire chez Proust dus à l'absorption de psychotropes. Pourquoi tenter d'observer des œuvres d'art à l'aune des neurosciences ? Il ne s'agit en aucun cas d'expliquer une œuvre particulière par la maladie de son auteur, et encore moins de réduire l'art à une anomalie neurologique ou psychiatrique, mais de mieux comprendre comment l'art et le cerveau se nourrissent l'un l'autre. Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
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