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Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. / Todd R. Olson / Pradel (1997)
Titl : Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Todd R. Olson, Oberour ; Michelle Pradel, Troer ; Christian Fontaine, Troer Embanner : Pradel, 1997 Niver a bajennoù : 490 p. Mentoù : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-907516-99-0 Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Saozneg (eng) Diverradenn : Bien que notre connaissance de l'anatomie macroscopique humaine ait relativement peu évolué ces cent dernières années, l'enseignement de l'anatomie a profondément changé, et ce dans toutes les professions de santé. Pendant la plus grande partie du XXe siècle, l'anatomie macroscopique humaine fut la matière principale enseignée en première année des études médicales. De nos jours, cent ans plus tard, l'importance de l'anatomie dans le curriculum de l'étudiant a été réduite, tant dans sa dimension pédagogique qu'au travers du temps qui lui est consacré, à un degré tel que les étudiants de première année de médecine passent deux à trois fois plus de temps à étudier les processus cellulaires, subcellulaires, moléculaires et biochimiques qu'ils ne le font des structures macroscopiques du corps humain. La principale raison de cette baisse d'intérêt a été le développement spectaculaire des technologies biomédicales et l'explosion de leur usage qui s'en est suivie pour la connaissance cliniquement utile, d'où leur incorporation dans l'enseignement médical de base.
Les anatomistes ont répondu avec succès aux défis créés par cette réduction de l'importance de leur matière dans le curriculum et dans le temps qui lui était imparti, et ce de trois façons. D'abord, et d'une façon significative, nous avons largement réduit les connaissances développées dans nos cours aux seuls aspects de l'anatomie qui ont une importance clinique, et ont ainsi la plus grande valeur potentielle pour la future pratique clinique des étudiants. Ensuite, nous avons passé au crible le corpus des connaissances anatomiques, pour éliminer les détails spécialisés qui doivent maintenant être enseignés dans les programmes du troisième cycle, ne conservant que les notions anatomiques essentielles, qui sont fondamentales dans l'enseignement clinique de base de chaque étudiant en médecine ou de toute profession de santé. Enfin, nous avons étendu notre enseignement aux deux dernières années du deuxième cycle, en introduisant des cours focalisés sur les spécialités et super-spécialités médicales, destinés aux étudiants préparant le concours d'Internat, et nous avons largement étendu notre participation aux enseignements de deuxième cycle et de formation médicale continue. Le développement longitudinal de l'enseignement anatomique aux années ultérieures, au-delà du traditionnel cours de première année, a permis de délivrer, de façon efficace et focalisée, des connaissances anatomiques détaillées et appropriées aux étudiants et aux médecins diplômés, qui ont un besoin direct et spécifique de ces informations.
Chacune de ces trois nouvelles frontières pédagogiques est un composant crucial de l'enseignement de l'anatomie destiné à nos futurs professionnels de santé. Le but de cet ouvrage est de se focaliser sur la phase initiale du processus éducatif, au cours duquel il est de plus en plus nécessaire de réduire le nombre important de détails que présente l'anatomie macroscopique à ceux qui sont fondamentaux. Alors que l'on voit fleurir un nombre toujours croissant de manuels d'anatomie macroscopique ayant adopté une perspective réduite aux «fondamentaux», nous avons longtemps trouvé étonnant qu'aucun n'ait intégré avec succès cette perspective dans un atlas anatomique pour étudiants débutants. Tout cela a changé il y a dix ans, quand a été publiée la première édition de l'Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. Depuis ses débuts en 1994 (1997 en France, et dans les pays francophones*), nous avons considéré l'Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. d'abord et avant tout comme un guide visuel et une ressource pédagogique interactive, à utiliser parallèlement au(x) traité(s) d'anatomie clinique. Dans l'organisation et le choix du contenu de l'Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M., notre but a été et reste d'insister sur ces parties du corps et ces structures anatomiques qui sont fondamentales pour l'enseignement clinique de chaque étudiant en médecine et en professions de santé.
Pour réaliser notre objectif, nous avons décidé d'inclure des images supplémentaires pour quelques structures et, en particulier, plus d'images de ces parties du corps qui présentent pour l'étudiant débutant les plus grandes difficultés de compréhension et d'appréciation. Nous attendons et nous espérons que la plupart des étudiants qui utiliseront cet ouvrage prendront bientôt conscience à la fois de cet accent distinctif que nous avons voulu y mettre et de son objectif limité, ainsi que de leurs propres besoins de consulter un atlas plus détaillé au fur et à mesure que leur étude de l'anatomie humaine progressera. Notre principal concept au soutien de notre objectif ne fut ni de reproduire les efforts déployés dans les atlas complets déjà existants, qui présentent complètement chaque structure nommée du corps humain, ni de créer un atlas pour accompagner et guider la dissection.Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : atlas Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. [testenn voulet] / Todd R. Olson, Oberour ; Michelle Pradel, Troer ; Christian Fontaine, Troer . - Pradel, 1997 . - 490 p. ; 28 cm.
ISBN : 978-2-907516-99-0
Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Saozneg (eng)
Diverradenn : Bien que notre connaissance de l'anatomie macroscopique humaine ait relativement peu évolué ces cent dernières années, l'enseignement de l'anatomie a profondément changé, et ce dans toutes les professions de santé. Pendant la plus grande partie du XXe siècle, l'anatomie macroscopique humaine fut la matière principale enseignée en première année des études médicales. De nos jours, cent ans plus tard, l'importance de l'anatomie dans le curriculum de l'étudiant a été réduite, tant dans sa dimension pédagogique qu'au travers du temps qui lui est consacré, à un degré tel que les étudiants de première année de médecine passent deux à trois fois plus de temps à étudier les processus cellulaires, subcellulaires, moléculaires et biochimiques qu'ils ne le font des structures macroscopiques du corps humain. La principale raison de cette baisse d'intérêt a été le développement spectaculaire des technologies biomédicales et l'explosion de leur usage qui s'en est suivie pour la connaissance cliniquement utile, d'où leur incorporation dans l'enseignement médical de base.
Les anatomistes ont répondu avec succès aux défis créés par cette réduction de l'importance de leur matière dans le curriculum et dans le temps qui lui était imparti, et ce de trois façons. D'abord, et d'une façon significative, nous avons largement réduit les connaissances développées dans nos cours aux seuls aspects de l'anatomie qui ont une importance clinique, et ont ainsi la plus grande valeur potentielle pour la future pratique clinique des étudiants. Ensuite, nous avons passé au crible le corpus des connaissances anatomiques, pour éliminer les détails spécialisés qui doivent maintenant être enseignés dans les programmes du troisième cycle, ne conservant que les notions anatomiques essentielles, qui sont fondamentales dans l'enseignement clinique de base de chaque étudiant en médecine ou de toute profession de santé. Enfin, nous avons étendu notre enseignement aux deux dernières années du deuxième cycle, en introduisant des cours focalisés sur les spécialités et super-spécialités médicales, destinés aux étudiants préparant le concours d'Internat, et nous avons largement étendu notre participation aux enseignements de deuxième cycle et de formation médicale continue. Le développement longitudinal de l'enseignement anatomique aux années ultérieures, au-delà du traditionnel cours de première année, a permis de délivrer, de façon efficace et focalisée, des connaissances anatomiques détaillées et appropriées aux étudiants et aux médecins diplômés, qui ont un besoin direct et spécifique de ces informations.
Chacune de ces trois nouvelles frontières pédagogiques est un composant crucial de l'enseignement de l'anatomie destiné à nos futurs professionnels de santé. Le but de cet ouvrage est de se focaliser sur la phase initiale du processus éducatif, au cours duquel il est de plus en plus nécessaire de réduire le nombre important de détails que présente l'anatomie macroscopique à ceux qui sont fondamentaux. Alors que l'on voit fleurir un nombre toujours croissant de manuels d'anatomie macroscopique ayant adopté une perspective réduite aux «fondamentaux», nous avons longtemps trouvé étonnant qu'aucun n'ait intégré avec succès cette perspective dans un atlas anatomique pour étudiants débutants. Tout cela a changé il y a dix ans, quand a été publiée la première édition de l'Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. Depuis ses débuts en 1994 (1997 en France, et dans les pays francophones*), nous avons considéré l'Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M. d'abord et avant tout comme un guide visuel et une ressource pédagogique interactive, à utiliser parallèlement au(x) traité(s) d'anatomie clinique. Dans l'organisation et le choix du contenu de l'Atlas d'anatomie humaine A.D.A.M., notre but a été et reste d'insister sur ces parties du corps et ces structures anatomiques qui sont fondamentales pour l'enseignement clinique de chaque étudiant en médecine et en professions de santé.
Pour réaliser notre objectif, nous avons décidé d'inclure des images supplémentaires pour quelques structures et, en particulier, plus d'images de ces parties du corps qui présentent pour l'étudiant débutant les plus grandes difficultés de compréhension et d'appréciation. Nous attendons et nous espérons que la plupart des étudiants qui utiliseront cet ouvrage prendront bientôt conscience à la fois de cet accent distinctif que nous avons voulu y mettre et de son objectif limité, ainsi que de leurs propres besoins de consulter un atlas plus détaillé au fur et à mesure que leur étude de l'anatomie humaine progressera. Notre principal concept au soutien de notre objectif ne fut ni de reproduire les efforts déployés dans les atlas complets déjà existants, qui présentent complètement chaque structure nommée du corps humain, ni de créer un atlas pour accompagner et guider la dissection.Doare an teul : teul-titouriñ Rumm : atlas Da vezañ miret
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