Diwar-benn an oberour
Oberour Pierre Fresnay (1897-1975) |
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La grande illusion / Jean Renoir / UGC (2000)
Titl : La grande illusion Doare an teul : teul klewelet Oberourien : Jean Renoir (1894-1979), Oberour ; Jean Gabin (1904-1976), C'hoarier ; Pierre Fresnay (1897-1975), C'hoarier ; Erich von Stroheim (1885-1957), C'hoarier ; Marcel Dalio (1900-1983), C'hoarier ; Charles Spaak (1903-1975), Oberour an diviz. Oberour eus diviz ar film Embanner : UGC, 2000 Niver a bajennoù : 108 mn Sk. : gwenn ha du ISBN/ISSN/EAN : B00004VY8K Priz : 30 € Notenn hollek : Film savet e 1937 Yezh : Galleg (fre) Diverradenn : En 1917, dans un camp en Allemagne, deux ennemis se lient d'amitié : l'officier allemand Von Rauffenstein qui dirige le camp et le capitaine Boïeldieu, un de ses prisonniers. Mais la loyauté envers sa patrie conduira l'officier français à commettre un acte désespéré afin de sauver les siens. Notenn diwar-benn danvez an teul : La Grande Illusion est l'un des monuments du cinéma. Riche, très riche même, le chef-d'oeuvre de Renoir étudie les relations humaines à plusieurs échelles. D'abord à celle du monde, à travers un message pacifiste vibrant, d'autant plus courageux que le film a été réalisé en 1937. Puis à celle d'individus qui n'ont a priori rien en commun, mais que la guerre oblige à vivre ensemble et à s'entraider. Cependant la guerre ne transcende les relations sociales que dans une certaine mesure. L'aristocrate de Boeldieu (Pierre Fresnay) se sent sans doute plus proche de son homologue allemand (Eric von Stroheim, martial à souhait) que de ses compagnons d'infortune, malgré l'estime qu'il porte à Maréchal (Jean Gabin). Et Rosenthal (Marcel Dalio) doit sa popularité dans la chambrée aux colis qu'il reçoit et partage avec ses camarades. Après la guerre, il redeviendra sans doute - on le perçoit dans la scène très violente l'opposant à Maréchal après leur évasion - ce qu'il n'a jamais cessé d'être aux yeux des autres : un banquier juif avant tout. Humaniste et réaliste à la fois, cette oeuvre lumineuse doit beaucoup à l'extraordinaire qualité de son interprétation : Gabin dans l'un de ses meilleurs rôles, Dalio éblouissant, Fresnay ou la classe incarnée ou encore le gouailleur Carette. Un film à voir et à revoir pour en découvrir les multiples facettes. Doare an teul : levr faltazi La grande illusion [teul klewelet] / Jean Renoir (1894-1979), Oberour ; Jean Gabin (1904-1976), C'hoarier ; Pierre Fresnay (1897-1975), C'hoarier ; Erich von Stroheim (1885-1957), C'hoarier ; Marcel Dalio (1900-1983), C'hoarier ; Charles Spaak (1903-1975), Oberour an diviz. Oberour eus diviz ar film . - UGC, 2000 . - 108 mn : gwenn ha du.
ISSN : B00004VY8K : 30 €
Film savet e 1937
Yezh : Galleg (fre)
Diverradenn : En 1917, dans un camp en Allemagne, deux ennemis se lient d'amitié : l'officier allemand Von Rauffenstein qui dirige le camp et le capitaine Boïeldieu, un de ses prisonniers. Mais la loyauté envers sa patrie conduira l'officier français à commettre un acte désespéré afin de sauver les siens. Notenn diwar-benn danvez an teul : La Grande Illusion est l'un des monuments du cinéma. Riche, très riche même, le chef-d'oeuvre de Renoir étudie les relations humaines à plusieurs échelles. D'abord à celle du monde, à travers un message pacifiste vibrant, d'autant plus courageux que le film a été réalisé en 1937. Puis à celle d'individus qui n'ont a priori rien en commun, mais que la guerre oblige à vivre ensemble et à s'entraider. Cependant la guerre ne transcende les relations sociales que dans une certaine mesure. L'aristocrate de Boeldieu (Pierre Fresnay) se sent sans doute plus proche de son homologue allemand (Eric von Stroheim, martial à souhait) que de ses compagnons d'infortune, malgré l'estime qu'il porte à Maréchal (Jean Gabin). Et Rosenthal (Marcel Dalio) doit sa popularité dans la chambrée aux colis qu'il reçoit et partage avec ses camarades. Après la guerre, il redeviendra sans doute - on le perçoit dans la scène très violente l'opposant à Maréchal après leur évasion - ce qu'il n'a jamais cessé d'être aux yeux des autres : un banquier juif avant tout. Humaniste et réaliste à la fois, cette oeuvre lumineuse doit beaucoup à l'extraordinaire qualité de son interprétation : Gabin dans l'un de ses meilleurs rôles, Dalio éblouissant, Fresnay ou la classe incarnée ou encore le gouailleur Carette. Un film à voir et à revoir pour en découvrir les multiples facettes. Doare an teul : levr faltazi Da vezañ miret
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