Diwar-benn an oberour
Oberour Miguel Ángel Asturias (1899-1974) |
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L'Homme qui avait tout, tout, tout / Miguel Ángel Asturias / Gallimard jeunesse (1982)
Titl : L'Homme qui avait tout, tout, tout Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Miguel Ángel Asturias (1899-1974), Oberour ; Julian Caravito, Troer ; Jacqueline Duhême, Illustrateur Embanner : Gallimard jeunesse, 1982 Dastumad : Folio Junior num. 63 Niver a bajennoù : 92 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-033063-8 Priz : 8,5 F. Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Spagnoleg (spa) Diverradenn : L'Homme qui avait tout, tout, tout, quand les serviteurs oubliaient de refaire son lit de sel blanc, se réveillait avec d'énormes boulons dans les narines, avec des restes de locomotives sur les bras, des roues de voitures rouillées dans les oreilles, sans compter les marteaux, tenailles et autres ustensiles avec lesquels il fallait qu'il se bagarre pour enfin sortir sa tête et crier "au secours"... Prenant comme prétexte le danger qu'un pareil homme représentait pour la sécurité mondiale, les polices locales d'abord, puis les polices et les armées nationales, ensuite les polices internationales, essayèrent de s'en emparer. On offrit des sommes fabuleuses pour sa capture. A condition qu'il fût vivant, car, une fois mort, il n'attirerait peut-être plus l'or! Notenn diwar-benn danvez an teul : De Rome où il est retenu prisonnier, au cirque "Babylone" où il exécute des exercices de magnétisme somnambule avant de finir dans une amphore, les aventures de L'Homme qui avait tout, tout, tout doivent à l'inépuisable imaginaire de Miguel Angel Asturias leurs rebondissements aussi inattendus que surréalistes. Miguel Angel Asturias, écrivain guatémaltèque (1899 - 1974), obtint le Prix Nobel de littérature en 1967.
Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : bac'hidigezh/dispac'h/fantastik/klask war-lerc'h/korf/krizder L'Homme qui avait tout, tout, tout [testenn voulet] / Miguel Ángel Asturias (1899-1974), Oberour ; Julian Caravito, Troer ; Jacqueline Duhême, Illustrateur . - Gallimard jeunesse, 1982 . - 92 p. - (Folio Junior; 63) .
ISBN : 978-2-07-033063-8 : 8,5 F.
Yezh : Galleg (fre) Yezh orin : Spagnoleg (spa)
Diverradenn : L'Homme qui avait tout, tout, tout, quand les serviteurs oubliaient de refaire son lit de sel blanc, se réveillait avec d'énormes boulons dans les narines, avec des restes de locomotives sur les bras, des roues de voitures rouillées dans les oreilles, sans compter les marteaux, tenailles et autres ustensiles avec lesquels il fallait qu'il se bagarre pour enfin sortir sa tête et crier "au secours"... Prenant comme prétexte le danger qu'un pareil homme représentait pour la sécurité mondiale, les polices locales d'abord, puis les polices et les armées nationales, ensuite les polices internationales, essayèrent de s'en emparer. On offrit des sommes fabuleuses pour sa capture. A condition qu'il fût vivant, car, une fois mort, il n'attirerait peut-être plus l'or! Notenn diwar-benn danvez an teul : De Rome où il est retenu prisonnier, au cirque "Babylone" où il exécute des exercices de magnétisme somnambule avant de finir dans une amphore, les aventures de L'Homme qui avait tout, tout, tout doivent à l'inépuisable imaginaire de Miguel Angel Asturias leurs rebondissements aussi inattendus que surréalistes. Miguel Angel Asturias, écrivain guatémaltèque (1899 - 1974), obtint le Prix Nobel de littérature en 1967.
Doare an teul : levr faltazi Rumm : romant Danvez ar faltaziadenn : bac'hidigezh/dispac'h/fantastik/klask war-lerc'h/korf/krizder Da vezañ miret
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