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Divertir pour dominer / Offensive / L'échappée (2010)
Titl : Divertir pour dominer : La culture de masse contre les peuples Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Offensive, Oberour Embanner : L'échappée, 2010 Dastumad : Pour en finir avec Niver a bajennoù : 268 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915830-22-4 Priz : 13 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Sevenadur a-vern Ekonomiezh varc'had Diverradenn : Le développement de la culture de masse a entraîné l'érosion des formes autonomes de culture populaire et la dissolution des liens sociaux au profit d'un monde artificiel d'individus isolés, fondement de la société de consommation. Le capitalisme ne peut donc être réduit à un système d'exploitation économique, il représente un "fait social total". II ne tient que sur l'intériorisation d'un imaginaire et grâce au développement d'une culture du divertissement permanent. Cette uniformisation des comportements et des aspirations se présente comme l'affranchissement de toutes les contraintes (sociales, spatiales, temporelles, etc.). Survalorisée et triomphante, la culture de masse (séries américaines, nouvelles technologies, football, jeux vidéos, etc.) trouve des défenseurs même chez les intellectuels dits contestataires. Il est donc urgent et nécessaire de mener une critique intransigeante du mode de vie capitaliste et de démontrer comment notre civilisation du loisir participe de la domestication des peuples. Doare an teul : teul-titouriñ Divertir pour dominer : La culture de masse contre les peuples [testenn voulet] / Offensive, Oberour . - L'échappée, 2010 . - 268 p.. - (Pour en finir avec) .
ISBN : 978-2-915830-22-4 : 13 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Sevenadur a-vern Ekonomiezh varc'had Diverradenn : Le développement de la culture de masse a entraîné l'érosion des formes autonomes de culture populaire et la dissolution des liens sociaux au profit d'un monde artificiel d'individus isolés, fondement de la société de consommation. Le capitalisme ne peut donc être réduit à un système d'exploitation économique, il représente un "fait social total". II ne tient que sur l'intériorisation d'un imaginaire et grâce au développement d'une culture du divertissement permanent. Cette uniformisation des comportements et des aspirations se présente comme l'affranchissement de toutes les contraintes (sociales, spatiales, temporelles, etc.). Survalorisée et triomphante, la culture de masse (séries américaines, nouvelles technologies, football, jeux vidéos, etc.) trouve des défenseurs même chez les intellectuels dits contestataires. Il est donc urgent et nécessaire de mener une critique intransigeante du mode de vie capitaliste et de démontrer comment notre civilisation du loisir participe de la domestication des peuples. Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 306 DIV teul-titouriñ Karaez 502411 Vak La fin de la Megamachine / Scheidler, Fabian / Seuil
Titl : La fin de la Megamachine : Sur les traces d'une civilisation en voie d'effondrement Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Scheidler, Fabian, Oberour Embanner : Seuil Dastumad : Anthropocène Niver a bajennoù : 624 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-144560-2 Priz : 23 € Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : politikerezh Ekonomiezh varc'had ekonomiezh, sosiologiezh Diverradenn : Énorme succès à l’étranger, ce livre haletant nous offre enfin la clé de compréhension des désastres climatiques, écologiques, pandémiques et économiques contemporains. Accuser Sapiens, un humain indifférencié et fautif depuis toujours, est une imposture. Notre histoire est sociale : c’est celle des structures de domination nées il y a cinq mille ans, et renforcées depuis cinq siècles de capitalisme, qui ont constitué un engrenage destructeur de la Terre et de l’avenir de l’humanité, une mégamachine.
Mais ces forces peuvent aussi être déjouées et la mégamachine ébranlée. Alors que les alternatives ne manquent pas, quel déclic nous faut-il pour changer de cap et abandonner une voie manifestement suicidaire ? La réponse est dans ce récit. Car seul celui qui connaît sa propre histoire peut être capable de l’infléchir.Notenn diwar-benn danvez an teul : « Aucun sujet n’est plus important. Une contribution d’une grande valeur qui vient à point. »
Noam Chomsky
« Un livre magnifique, d’une actualité brulante. Nous devons à l’auteur gratitude, solidarité et beaucoup d’admiration. »
Jean ZieglerDoare an teul : levr faltazi Rumm : roman La fin de la Megamachine : Sur les traces d'une civilisation en voie d'effondrement [testenn voulet] / Scheidler, Fabian, Oberour . - Seuil, [s.d.] . - 624 p.. - (Anthropocène) .
ISBN : 978-2-02-144560-2 : 23 €
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : politikerezh Ekonomiezh varc'had ekonomiezh, sosiologiezh Diverradenn : Énorme succès à l’étranger, ce livre haletant nous offre enfin la clé de compréhension des désastres climatiques, écologiques, pandémiques et économiques contemporains. Accuser Sapiens, un humain indifférencié et fautif depuis toujours, est une imposture. Notre histoire est sociale : c’est celle des structures de domination nées il y a cinq mille ans, et renforcées depuis cinq siècles de capitalisme, qui ont constitué un engrenage destructeur de la Terre et de l’avenir de l’humanité, une mégamachine.
Mais ces forces peuvent aussi être déjouées et la mégamachine ébranlée. Alors que les alternatives ne manquent pas, quel déclic nous faut-il pour changer de cap et abandonner une voie manifestement suicidaire ? La réponse est dans ce récit. Car seul celui qui connaît sa propre histoire peut être capable de l’infléchir.Notenn diwar-benn danvez an teul : « Aucun sujet n’est plus important. Une contribution d’une grande valeur qui vient à point. »
Noam Chomsky
« Un livre magnifique, d’une actualité brulante. Nous devons à l’auteur gratitude, solidarité et beaucoup d’admiration. »
Jean ZieglerDoare an teul : levr faltazi Rumm : roman Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (1)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem 577 SCH teul-titouriñ Ar Releg-Kerhuon 203756 Vak