Titl : |
Quand gallo et breton se rencontrent... |
Doare an teul : |
testenn voulet |
Oberourien : |
André Bienvenu, Oberour |
Embanner : |
Label LN, 2009 |
Niver a bajennoù : |
177 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-915915-26-6 |
Priz : |
17 € |
Notenn hollek : |
Un digoradur. |
Yezh : |
Galleg (fre) |
Gerioù-al'hwez : |
gallaoueg brezhoneg gwenedeg |
Diverradenn : |
La Bretagne possède deux langues minoritaires : le gallo et le breton. La première est romane, la seconde celtique. C’est par leur existence et leur territoire que l’on distingue Basse et Haute-Bretagne. Beaucoup les différencie. Et pourtant, elles n’ont cessé de s’influencer, de s’enrichir mutuellement.
André Bienvenu, né en 1931 et originaire de Saint-Senoux dans l’arrondissement de Redon (35), est gallésant de naissance. Homme instruit dans sa langue maternelle, pour être conteur et écrivain, il s’initia au breton par relation familiale dès ses onze ans. Il connaît donc bien les modes d’expression et de pensée des deux cultures.
Certains, tels Léon Fleuriot ou Claude Capelle, ont déjà établi une comparaison linguistique, d’un point de vue lexical ou étymologique, centrée sur le breton. Ici la priorité à été donnée à la langue gallèse dans son usage le plus simple ; de nombreux exemples d’emploi en révèlent l’esprit et la saveur. L’analyse universitaire ou purement formelle procède d’une autre démarche.
Si l’apport du breton au gallo est assez facilement identifiable, le contraire reste encore méconnu voire insoupçonné. Puisse cet ouvrage, bien loin d’être exhaustif, amener de nombreux lecteurs à poursuivre et amplifier ce travail de recherche si passionnant et faire comprendre qu’une identité naît de la pluralité.(4vet pajenn ar golo) |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
Rumm : |
geriadur |
Quand gallo et breton se rencontrent... [testenn voulet] / André Bienvenu, Oberour . - Label LN, 2009 . - 177 p. ISBN : 978-2-915915-26-6 : 17 € Un digoradur. Yezh : Galleg ( fre)
Gerioù-al'hwez : |
gallaoueg brezhoneg gwenedeg |
Diverradenn : |
La Bretagne possède deux langues minoritaires : le gallo et le breton. La première est romane, la seconde celtique. C’est par leur existence et leur territoire que l’on distingue Basse et Haute-Bretagne. Beaucoup les différencie. Et pourtant, elles n’ont cessé de s’influencer, de s’enrichir mutuellement.
André Bienvenu, né en 1931 et originaire de Saint-Senoux dans l’arrondissement de Redon (35), est gallésant de naissance. Homme instruit dans sa langue maternelle, pour être conteur et écrivain, il s’initia au breton par relation familiale dès ses onze ans. Il connaît donc bien les modes d’expression et de pensée des deux cultures.
Certains, tels Léon Fleuriot ou Claude Capelle, ont déjà établi une comparaison linguistique, d’un point de vue lexical ou étymologique, centrée sur le breton. Ici la priorité à été donnée à la langue gallèse dans son usage le plus simple ; de nombreux exemples d’emploi en révèlent l’esprit et la saveur. L’analyse universitaire ou purement formelle procède d’une autre démarche.
Si l’apport du breton au gallo est assez facilement identifiable, le contraire reste encore méconnu voire insoupçonné. Puisse cet ouvrage, bien loin d’être exhaustif, amener de nombreux lecteurs à poursuivre et amplifier ce travail de recherche si passionnant et faire comprendre qu’une identité naît de la pluralité.(4vet pajenn ar golo) |
Doare an teul : |
teul-titouriñ |
Rumm : |
geriadur |
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