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Naufrages et pillages en Léon 1681-1815 / Jean-Pierre Hirrien / Skol Vreizh (2000)
Titl : Naufrages et pillages en Léon 1681-1815 Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Jean-Pierre Hirrien, Oberour Embanner : Skol Vreizh, 2000 Dastumad : Collection bleue num. 46 Niver a bajennoù : 83 p ISBN/ISSN/EAN : 2-911447-39-5 Priz : 12 € Notenn hollek : Skeudennoù ha kartennoù/nombreuses illustrations et cartes
Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : peñse preizhadeg Bro Bagan Pagan naufrage pillage Pays Pagan Diverradenn : Au XVIIIe siècle, la Manche est déjà l'une des principales routes maritimes fréquentées par les flottes anglaises, hollandaises, françaises, espagnoles,... A une époque où les phares sont rares, peu performants, doubler la pointe de la Bretagne est une épreuve redoutable pour un navire à voile.
Les côtes du Léon, semées d'écueils, balayées par de terribles tempêtes hivernales, longées par des courants violents bornent l'entrée méridionale de la Manche. Elles furent -et sont encore- le théâtre de nombreux naufrages.
Si la nature permet aux communautés littorales d'espérer quelques "bons naufrages", le rôle des hommes s'avère parfois déterminant dans l'infortune de mer. En effet, les archives révèlent des maladresses, des erreurs de navigation, des actes de malveillance, qui débouchent sur des tragédies maritimes.
Entrent alors en action les habitants des paroisses littorales qui se muent en pilleurs d'épaves de navires et de leur cargaisons. Bois, alcool, vêtements, sont de véritables dons du ciel pour ces populations pauvres qui tentent de les soustraire aux autorités royales, parfois dans la violence.
Doare an teul : teul-titouriñ Naufrages et pillages en Léon 1681-1815 [testenn voulet] / Jean-Pierre Hirrien, Oberour . - Skol Vreizh, 2000 . - 83 p. - (Collection bleue; 46) .
ISBN : 2-911447-39-5 : 12 €
Skeudennoù ha kartennoù/nombreuses illustrations et cartes
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : peñse preizhadeg Bro Bagan Pagan naufrage pillage Pays Pagan Diverradenn : Au XVIIIe siècle, la Manche est déjà l'une des principales routes maritimes fréquentées par les flottes anglaises, hollandaises, françaises, espagnoles,... A une époque où les phares sont rares, peu performants, doubler la pointe de la Bretagne est une épreuve redoutable pour un navire à voile.
Les côtes du Léon, semées d'écueils, balayées par de terribles tempêtes hivernales, longées par des courants violents bornent l'entrée méridionale de la Manche. Elles furent -et sont encore- le théâtre de nombreux naufrages.
Si la nature permet aux communautés littorales d'espérer quelques "bons naufrages", le rôle des hommes s'avère parfois déterminant dans l'infortune de mer. En effet, les archives révèlent des maladresses, des erreurs de navigation, des actes de malveillance, qui débouchent sur des tragédies maritimes.
Entrent alors en action les habitants des paroisses littorales qui se muent en pilleurs d'épaves de navires et de leur cargaisons. Bois, alcool, vêtements, sont de véritables dons du ciel pour ces populations pauvres qui tentent de les soustraire aux autorités royales, parfois dans la violence.
Doare an teul : teul-titouriñ Da vezañ miret
Mirout an teul-mañ
Skouerennoù (3)
Cote Section Localisation Code-barres Statud Tem DG 46 Dastumad Glas (Skol Vreizh) Ar Releg-Kerhuon 200525 Vak Collection Bleue teul-titouriñ Gwened 100180 Vak Collection Bleue teul-titouriñ Kemper 300651 Vak Le Pagan et la mer / Jean-Pierre Hirrien / Label LN (2007)
Titl : Le Pagan et la mer : Histoire maritime du Pays Pagan du XVIIIe au XXe siècle Doare an teul : testenn voulet Oberourien : Jean-Pierre Hirrien, Oberour Embanner : Label LN, 2007 Niver a bajennoù : 365 p ISBN/ISSN/EAN : 2-915915-11-3 Notenn hollek : près de 140 cartes, photographies et dessins en N/B ou couleurs
Yezh : Galleg (fre) Gerioù-al'hwez : Bro Bagan Pagan peñseoù peñseer bag konfontet lestr konfontet bezhin bezhiner Diverradenn : Les Paganiz ont trop longtemps été présentés comme des êtres frustres, arriérés et volontiers naufrageurs. Cette image tenace doit pourtant être nuancée. L’existence de ces hommes et de ces femmes est avant tout une histoire du quotidien axée sur l'exploitation d'un milieu maritime inhospitalier et agressif trouvant ses manifestations dans la pêche, la récolte du goémon ou encore le cabotage. Car le Pagan se caractérise par une pluriactivité mi-agricole mi-maritime.
Mais au XIXe siècle, le Pays pagan se laisse peu à peu gagner par la modernité : des phares illuminent les côtes, des ponts favorisent les communications, les polders supplantent les marais et des trains déversent leurs flots de touristes venus de cités voisines ou lointaines.
Le Pays pagan n’a pas été épargné par les conflits et fut le théâtre de combats navals. Ce qui eut des conséquences pour la population littorale. Contraints et forcés, les Paganiz ont parcouru mers et océans du monde lors des levées du service des classes et de l'inscription maritime. Durant l’Ancien Régime et jusqu’à l’Empire, ils durent assurer la surveillance et la défense côtières contre l’Anglais. Enfin, les guerres du xxe siècle ont généré la cohabitation avec les troupes américaines et l’occupation allemande.
Doare an teul : teul-titouriñ Le Pagan et la mer : Histoire maritime du Pays Pagan du XVIIIe au XXe siècle [testenn voulet] / Jean-Pierre Hirrien, Oberour . - Label LN, 2007 . - 365 p.
ISBN : 2-915915-11-3
près de 140 cartes, photographies et dessins en N/B ou couleurs
Yezh : Galleg (fre)
Gerioù-al'hwez : Bro Bagan Pagan peñseoù peñseer bag konfontet lestr konfontet bezhin bezhiner Diverradenn : Les Paganiz ont trop longtemps été présentés comme des êtres frustres, arriérés et volontiers naufrageurs. Cette image tenace doit pourtant être nuancée. L’existence de ces hommes et de ces femmes est avant tout une histoire du quotidien axée sur l'exploitation d'un milieu maritime inhospitalier et agressif trouvant ses manifestations dans la pêche, la récolte du goémon ou encore le cabotage. Car le Pagan se caractérise par une pluriactivité mi-agricole mi-maritime.
Mais au XIXe siècle, le Pays pagan se laisse peu à peu gagner par la modernité : des phares illuminent les côtes, des ponts favorisent les communications, les polders supplantent les marais et des trains déversent leurs flots de touristes venus de cités voisines ou lointaines.
Le Pays pagan n’a pas été épargné par les conflits et fut le théâtre de combats navals. Ce qui eut des conséquences pour la population littorale. Contraints et forcés, les Paganiz ont parcouru mers et océans du monde lors des levées du service des classes et de l'inscription maritime. Durant l’Ancien Régime et jusqu’à l’Empire, ils durent assurer la surveillance et la défense côtières contre l’Anglais. Enfin, les guerres du xxe siècle ont généré la cohabitation avec les troupes américaines et l’occupation allemande.
Doare an teul : teul-titouriñ Skouerennoù
Cote Section Localisation Code-barres Statud skouerenn ebet